Chapitre VI
UNE QUÊTE POUR UN MAGICIEN
-Je persiste à dire que ce tournoi sera un vrai désastre, déclara un homme assit à côté de sept autres individus.
Le Grand enchanteur n’avait pas pensé que sa décision soit remise en question par le conseille enchanté. Ils n’étaient clairement pas d’accord pour la façon de procédé. L’atmosphère était encore plus lourde dans la salle que derrière la porte où Alexandre se cachait pour écouté secrètement la discussion.
-Je vous dis que rien ne coûte d’essayez ! Énonça le Grand enchanteur et se redressant de sa chaise.
Dans l’intonation de sa voix, il s’adressait uniquement à l’homme assit au bout de la grande table. Les cinq autres personnes ne participait plus à l’échange depuis un certains temps. Ils ne savaient pas comment réagir et ne faisaient que bailler. Le plus jeune d’entre tous était le plus concentré et gardait les yeux ouvert. Lui, contrairement aux autres, cherchait le moyen de prendre la parole. Il écrivait dans un carnet jaune vif avec un logo en forme de diamant rouge, toutes ces impressions y était écrit noir sur blanc.
-Je fais partit du conseille, Grand Enchanteur ! cria l’homme au bout de la table. Et si on ne m’entend pas, j’ai toujours le droit de me retiré. Non, mais ! Pourquoi avoir établi un conseille si les conseilles des conseillers ne sont même pas écoutés !
-Je vous affirme, Perceval, que se n’est pas moi qui ai décidé du conseille ! Précisa Le Grand enchanteur. Se sont mes ancêtres ! Comprenez-vous ? Mes ancêtres !
Le jeune homme secoua la tête et soupira longuement. Ils tournaient autour du pot depuis trop longtemps et les deux hommes ne cessait de changé de sujet. Il perdit aussi tôt patience.
-Je pense qu’il n’est plus temps de débattre sur ce sujet, déclara-t-il soudainement en attirant la curiosité de tous ceux qui étaient présent.
Perceval et Le grand enchanteur se tournèrent vers le jeune homme.
-Qu’est-ce-que vous insinuez ? Questionnèrent-ils à l’unisson.
Le jeune homme se leva de sa chaise et commença à parcourir la salle.
-La nouvelle est déjà connue de tous, déclara-t-il en lisant son livret. Les gens sont entrain de se préparé. Les élèves s’appliquent beaucoup plus en classe. Petits et grands, ils ont tous envie de s’emparé du titre de chef. Le comble est surtout que…
-Quoi donc ? Demanda Perceval.
Le jeune homme ferma son livret et croisa les bras.
-Pendant que nous nous éternisons ici, à changer à chaque fois de propos. Les habitants ont commencé… à manifesté.
Les yeux du grand enchanteur doublèrent de volume. Perceval esquissa un sourire béat et leva un sourcil en regardant le Grand enchanteur. Mais il n’en resta pas moins surpris.
-J’étudie l’affaire depuis l’annonce du tournoi. J’étais présent lors d’une de leur rassemblement.
-Voyons, Lutèce, s’écria Perceval. Pourquoi ne pas l’avoir dit plutôt ? Nous aurions put éviter de perdre du temps avec ces nombreuses tête à tête. Et en plus, on m’aurait écouté.
-Je ne pouvais pas faire éclater une chose sans preuve, dit-il. J’ai tout simplement attendu le bon moment.
Le Grand enchanteur se leva et se mit à faire les cent pas dans la salle. Des gouttes de sueur perlèrent sur son front. Ses lunettes s’emplir de vapeur. Il ne cachait nullement son stresse. Les autres membres du conseille s’étaient endormit sur la table pendant que les trois hommes se consultaient.
Alexandre ne prit pas congé d’épié la conversation. Il se retenait de ne pas percé un cri. Il avait l’impression de se noyer au fond de la mer tant la chaleur l’étouffait. Il ne savait pas que Lutèce était présent lors du rassemblement pour la manifestation. S’il voulait cacher son angoisse tout était perdu d’avance.
-Eh bien, déclara le Grand Enchanteur. Vous avez gagnez Perceval… Appliqué votre idée.
Perceval se tint les hanches en entendant cela. Il se voyait enfin fière d’être le seul qui recevrait le mérite des paysans, en sachant que c’est lui qui arrangera la situation.
-Marta ? Demanda-t-il à une femme qui s’était accroupi sur la table.
La femme ouvrit les yeux et ne se souvint plus de rien de ce qu’il ce passait. Un filet de bave pendait encore sur son menton.
-Prenez note, je vous prie.
La vieille dame prit une plume et attendit que Perceval parle pour écrire les règles de grand tournoie. Perceval se racla la gorge.
-Les règles du tournoie seront les suivants.
Il commença à cité tout les règlements. Pendant ce temps Alexandre fut surpris par Lutèce qui sortait de la salle de conférence.
-Que faite vous là Mr. Alexandre ? demanda-t-il.
Alexandre ne su quoi répondre. Il ne pouvait pas lui avouer qu’il avait écouté leur délibération depuis le début. Ses yeux jonglèrent entre Lutèce et un grand vase qui était dressé contre le mur.
-Je nettoyais juste ce vase, dit-il en frottant celle-ci l’air déterminé.
Lutèce leva un sourcil.
-Vous nettoyiez ce vase ? Répéta-t-il non convaincu.
-Oui. On m’a informé que les balais envoutés ne faisaient pas bien le travail.
Lutèce leva les yeux au ciel.
-Très bien. Mais ne restez pas là. Personne appart le Grand enchanteur et le conseille enchanté ne peut s’approché de cette salle. Croyez-le ou non, nos conversations sont confidentielles.
-Vos consignes sont des ordres.
Alexandre se dirigea vers la direction opposé de Lutèce. Il souffla un grand « ouf ». Un peu plus et il aurait été démasqué.
-Alexandre ?
Alexandre sursauta.
-Oui, Mr. Lutèce.
Lutèce réfléchit un instant en caressant son carnet.
-Tout compte fait, venez avec moi. Je dois vous confiez une quête importante.

Il suivit Lutèce d’escalier en escalier puis de couloir en couloir quand enfin ils atteignirent le dernier étage du grand arbre. Les corridors étaient très sombre dans cette partie par rapport à celui de l’avant dernier étage. Alexandre se sentit soudain étranger dans cet endroit. L’écorce des murs était déchirée comme des papiers peints usées. Des toiles d’araignée recouvraient presque tout le plafond et le vieux tapis sur lequel il marchait n’a pas été nettoyer depuis une décennie. Une grande porte apparut soudaine devant eux. Lutèce l’invita à entré. Il eut quelque hésitation s’attendant à une vieille pièce poussiéreuse et encombré de rat. Mais quand il pénétra dans la pièce il s’aperçu que c’était une immense bibliothèque, fraichement arranger.
-Est-ce ici ? La vieille bibliothèque de l’école ?
-En effet Alexandre. Vous connaissez ?
-Oui, Le grand Enchanteur m’en a déjà parlé, dit-il en contemplant la grande salle. J’ignorais cependant qu’elle était en si bonne état.
Lutèce s’assit derrière un grand bureau semblable à celui du grand enchanteur et fit un signe de main pour invité Alexandre à prendre place devant lui.
-Pourquoi m’avez-vous emmené ici ? demanda-t-il après quelques temps de silence.
Lutèce feuilletait son carnet jaune vif comme d’habitude en cherchant une page qu’il pourrait montrer à Alexandre. Il s’arrêta enfin devant un passage couvert de théorie, de gribouillis et de récapitulation.
-Je ne voudrais surtout pas être indiscret mais, êtes vous déjà sortit dans le monde découvert ?
La question soudaine que l’on lui posait était tellement interrogatif que lui-même au moment où Lutèce avait prononcé ces mots, semblait effacé de sa mémoire tout à ce sujet.
-Oui, répondit-il hésitant en se grattant la tête. Mais je ne suis pas allez loin. Juste assez loin pour trouvé une plante magique que Lord Middley m’avait demandé de lui rapporté.
Lutèce hochait la tête sans daigner lever le nez de son carnet.
-Eh bien, vous avez de la chance car vous allez aller plus loin aujourd’hui. Même très loin.
Alexandre du cligné les yeux trois fois de suite pour digéré les nouvelles.
-Vous voulez me dire que vous avez besoin que j’aille dans le monde découvert ?
Lutèce ferma son cahier et se tourna franchement vers le garçon.
-Pas tout à fait, dit-il. Ce n’est pas moi qui ai besoin de votre allé dans le monde découvert. Ce sont les citoyens.
Alexandre cherchait le moyen d’échappé un peu son cœur qui s’emballait trop. Qu’il l’admette ou non, il savait que cette situation était son plus beau cadeau depuis trois ans.
-Et pourquoi vous m’envoyez là-bas ?
-Pour une importante tâche que je ne puisse malheureusement plus accomplir. J’appel cette quête l’opération P.E.R.R.Y.
Alexandre relia les lettres et découvrit ce qu’y était caché dans les initiales.
-Perry ? Le nom ?
-Non. Parce que l’Empêchement Rapide Riposte sous les Yeux.
-L’empêchement de quoi ?
-Du tournoi de magie.
-Et comment pourrait-on faire une chose pareille en allant dans le monde découvert ?
Lutèce se leva et se mit devant un grand drap qui dissimulait quelque chose. Il retira le drap et tableau se montra.
-Avec Alice Myriam Perry et Tom Kevin Perry.
Alexandre leva un sourcil incrédule. Il pensait lui avoué que depuis quelques secondes il n’arrivait plus à suivre.
-Qui sont ces deux individus ? Demanda-t-il.
Lutèce s’assit à nouveau devant lui et lui tendit son carnet. Alexandre observait les flèches qui reliaient des mots entre mêler dans le cahier. Il stoppa son regard net devant le contenu de la dernière page où il était écrit.
Nous consentons solennellement à protégé cet écrit jusqu’à notre mort.
Clark Perry, Mark Perry et Lutèce Moons
-Clark et Mark Perry était des hommes remarquables, n’est ce pas ?
Lutèce hocha la tête et ses yeux trahissaient son sourire triste. Son regard paraissait se noyer dans des noirs souvenirs.
-C’est vrai. Je ne saurais pas cité toutes les glorieuses actions que ces deux frères ont accomplies. Mais je ne sais pourquoi les bonnes personnes meurent toujours avant les mauvaises. Mais je pense que les Perry n’ont pas tous disparu.
-Que voulez vous dire ?
-Ce carnet est la preuve de leur existence. Il nous appartient. Clark Perry avait écrit toutes ses aventures dans le monde découvert dedans. Il avait passé plus de dix ans là-bas. Assez longtemps pour trouvé l’âme sœur.
-vous dites que Clark Perry est resté dans le monde découvert et y a trouvé une épouse ?
-Il ne l’a dit qu’à nous. Mais il avait oublié de préciser qu’il avait aussi une fille.
Alexandre resta pantois. De toutes les choses qu’il aurait estimé savoir ce jour là, il n’aurait put s’attendre à de telle révélation.
Comment cette histoire de quête pourrait-il se terminé à ce rythme là ?...