The Heirs of Magic
written by Chloe Shinepark
This is a book that talk about enchanter's drama. The principal characters are cousins: Tom Kevin Perry and Alice Myriam Perry. They will enter in a land that they ever wished to be in and learn how to be a nice kind of enchanter... The book is actually in french but I wish I'll find a way to translate it in English. This is just a testing.
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05/31/21
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Le monde temporaire de déploie envouté
Chapter 4
Chapitre III
Le Monde temporaire de déploie envouté
Alice portait un grand carton dans ses mains et descendait les escaliers. Le poids de la boîte la tirai vers le sol et elle prit quelque temps pour s’équilibré. Quand elle mit pied à terre, elle posa le carton sur le planché rempli d’autre boîte aussi lourde.
Après les examens de fin d’année, Alice avait parlé de la colonie de vacance à sa mère. Isabelle avait trouvé le bon côté des choses dans la proposition. Mais il était aisé pour Alice de lui en dire beaucoup plus sur les inconvénients. Il valait mieux pour elle de resté aidé sa mère à préparé leur déménagement.
Leur salon ressemblait à un vide grenier maintenant qu’ils avaient emballé toute leur affaire. Alice n’aurait jamais cru qu’elle avait autant de livre. Une vingtaine de carton contre le mur portait son nom. Tom débarqua dans le salon avec deux cartons remplie de vieil album photo poussiéreux. Il les lâcha subitement et provoqua un levé de poussière. Alice s’avança vers lui en regardant étrangement les cartons.
-Où as-tu trouvé ça ? Demanda-t-elle en feuilletant un album.
-Ils étaient caché sous le lit de ta mère, dit-il en frottant son pantalon.
Alice tourna les vieilles pages du recueille et laissa tombé une photo. Elle l’a prit et se mit à rire.
-Qu’est ce que c’est ? demanda Tom.
- C’est la photo qu’on à prise lors de mon cinquième anniversaire, dit-elle entre deux rires.
Tom regarda l’image à son tour et reconnue un petit garçon avec des lunettes ronde qui ne tenaient même pas sur sa tête. Il était sous une table en train de feuilleté un livre tandis qu’une petite fille à couette soufflait les bougies d’un gros gâteau. Tom rit à son tour.
-Je m’en souviens, dit-il. Ce livre était ton recueil de conte grec, pas vrai ? J’étais tout petit à l’époque. Malheureusement, maintenant je n’ai plus de cachète pour lire lors des fête de famille.
Alice lui donna un coup amical dans les côtes.
-On t’avait cherché partout et tu étais sous la table en train de lire un des livres que j’ai eu en cadeaux.
-D’ailleurs, où il est, ce livre ?
-Tu penses bien que je perdrais la tête si je ne l’avais plus. Ce livre me tien beaucoup à cœur te t’en souviens ? dit-elle en regardant l’album.
Tom prit un album aussi et le feuilleta. Il s’arrêta sur l’image de leur maison. Il n’y avait pas autant de plante dans leur jardin. Mais le charme de leur bâtisse était déjà là.
-Cette maison va me manqué, dit-il en fermant l’album.
-A moi aussi, dit Alice en fermant les cartons.
Personne ne pipa mot. Ils restèrent là à se remémoré leur bon moment passé dans la maison.
-Les enfants ! Appela une voix de l’extérieur.
Ils se levèrent et se dirigèrent vers la porte. Isabelle était en train de discuter avec un homme qui était au volant d’un grand camion bleu.
-N’vous inquiété pas m’dame, dit-il. Nous somme des professionnels.
-Je n’en doute pas mais, faite quand même attention aux cartons fragile. J’ai de très précieuses vaisselle en porcelaine qui…
-Tout ira bien ! dit le bonhomme en coupant Isabelle. Vous tenez au bon service pour de bon plat. Comme tout le monde. Tout est prit en main ! Mon équipe et moi, nous avons de l’expérience.
-Très bien, accepta Isabelle.
Elle se tourna vers la porte et vu Tom et Alice. Elle esquissa un sourire.
-L’équipe de déménagement est là, dit-elle. Tout est près ?
-Oui, répondit Tom.
Isabelle se tourna vers le bonhomme.
-Vous pouvez commencer, lui dit-elle.
Le bonhomme esquissa un sourire.
- Bougeons-nous les gars ! cria-t-il. Ces cartons ne vont pas se déplacé tout seul !
Des hommes en uniforme bleu sortirent du camion et salua Isabelle avant de se précipité vers leur salon. Alice et Tom les regardèrent s’emparé de plusieurs boîte à la fois. Isabelle s’approcha d’eux et mit une main sur l’épaule de son neveu.
-Vous avez finit vos valises ?
-Tout est emballé, rassura Alice.
-Bien ! dit Isabelle. Je vais ouvrir le coffre de la voiture. Venez me rejoindre quand vous aurez descendu vos bagages.
Ils hochèrent leur tête et montèrent les escaliers.
Après quelques heures d’attente. L’équipe du bonhomme finit part embarqué toute leur affaire. Alice et Tom étaient assis aux chaises arrière de leur voiture. Isabelle ferma une dernière fois la porte de leur maison et entra dans l’automobile. Elle mit le contacte et démarra le moteur.
-Nous partons ! cria-t-elle au bonhomme.
-On vous suit ! répondit le bonhomme.
Ils contemplèrent une dernière fois leur maison et roulèrent tranquillement sur la route. Très vite, ils atteignirent un croisement où ils tournèrent à gauche.
Le trajet était silencieux. On n’entendait qu’un flash d’information à la radio. Alice et Tom étaient assis de part et d’autre de la chaise arrière. Ils avaient les yeux fixés sur le paysage de colline et d’arbre. Ils avançaient doucement sur le chemin goudronné quand ils croisèrent un camion qui faillit se heurté contre eux. Isabelle tourna le volant et échappa de justesse à un grave accident.
Cela fait désormais quatre heures que personne ne parlait. Isabelle comprenait bien pour quoi.
-Vous n’êtes pas content de bientôt visité l’I.A.P.A ? demanda-t-elle.
-Si ! s’écria Alice. Mais…
-si seulement on pouvait déplacer notre belle vieille maison, dit Tom.
Isabelle acquiesça en comprenant ce que Tom voulait faire saisir.
-Vous savez, c’est un mal pour un bien, dit-elle. On ne quitte pas notre demeure par plaisir. Mais c’est parce qu’on est obligé. Vous comprenez ?
-C’est vrai maman, approuva Alice.
-Oui.
Ils continuèrent leur route. Le flash d’information fit place à une compile de chanson mélancolique. Alice et Tom s’endormirent et se réveillaient de temps en temps quand la voiture bondissait sur une bosse. Isabelle jetait parfois un coup d’œil au camion de déménagement pour s’assuré que celui-ci les suivait toujours. L’automobile bleu d’Isabelle pénétra dans un village qui fit très vite place à une ville charmante. Chaque quartiers avaient des point qui les faisait se démarqué. Les maisons avaient de très belle toiture en tuiles. Les routes étaient bordées de petite plante qui ajoutait des flatteries. Les rues étaient tellement spacieuse que le camion n’eu aucune peine pour se faufilé.
Aussi tôt, Isabelle se gara devant un panneau qui indiquait une demeure vendu. Alice et Tom se redressèrent et reconnue tout de suite leur nouvelle maison. C’était une belle résidence avec une toiture en tuile et un peu plus grande que leur ancienne maison. Elle était construite en pierre grise avec quelque roche blanchit. Le jardin était deux fois plus large et plus fleurit que la leur avant. En voyait dépassé les branches d’un saule derrière la bâtisse. Ils tombèrent tout de suite sous le charme. L’impression d’abandon par rapport à leur ancienne maison les quitta soudainement. Ils s’adressèrent un sourire béat. Ils descendirent de la voiture et rejoignit Isabelle qui parlait avec le bonhomme.
-On y est ? Demanda le monsieur.
-Oui, dit Isabelle. Vous pouvez décharger nos affaires.
Il se tourna vers son équipe qui le regarda sans intention.
-Déchargé tout, voyons ! ordonna-t-il et tous s’empara des cartons.
Les jeunes suivirent Isabelle qui ouvrit la porte d’entré et pénétrèrent dans l’enceinte magnifique.
-Tu as fait une bonne affaire tante Isa, déclara Tom.
-Je sens que cette maison regorge de secret, dit Alice en écarquillant les yeux.
Pendant qu’ils restèrent à contemplé la maison de l’extérieur, Isabelle décida d’entré.
-Tu as vu l’arbre ? Questionna Alice.
-Un endroit parfait pour lire, répondit Tom.
Ils se regardèrent joueur.
-On fait la course, décida Alice qui fonça sans attendre vers le grand saule.
Tom était encore en train d’admiré le paysage et n’entendit aucun mot de se qu’Alice disait.
Alice était arrivée au pied de l’arbre et regarda l’arbre de bas. Devant celui-ci elle était plus grande que trois pommes. Le feuillage du saule était très frais et claire. Tom arriva après quelque minute et se mit à côté de sa cousine.
-Tu m’aides à y monté ? Demanda Alice.
Tom réfléchit et pris un air gêné.
-Je peux mais… Je devrais partager avec toi ce coin de lecture et ce point de vue astronomique idéal.
Alice grogna les bras croisées. Tom ne ratait pas l’occasion de la taquiné. Tom se mit à rire.
-Je plaisante, dit-il. Je t’aiderais à y monté mais tout à l’heure sœurette.
Alice aimait bien pensé que Tom était son frère. Ils se comportaient comme telle depuis toujours. Ils avaient peut être le même âge mais ils considéraient le fait que Tom avait deux mois de plus qu’Alice.
Ils entrèrent dans la maison et furent encore plus émerveillé que des enfants dans un magasin de bonbon. L’intérieur avait été gardé en pierre comme la devanture. Un escalier de roche conduisait au premier étage. Le rez-de-chaussée était très bien aéré par les grandes fenêtres blanches et le salon était simple, mais avait une chaleur accueillante. Les jeunes se sentirent tout de suite chez eux. Ils avaient hâte d’entamé une novelle période de leur vie dans cette belle bâtisse.
Après trois heures, chaque carton avait été emmené dans les pièces désigné pour celle-ci. Tom et Alice avait aperçu leur nouvelle chambre toute aussi spacieuse l’une que l’autre. Mais ce qu’ils avaient découvert de plus incroyable c’était la bibliothèque qui occupait au moins deux salles entière. C’était la plus grande pièce de la maison.
Chacun se mit à rangé ses affaires, ils avaient beaucoup de travail. Alice finit de fixé ses rideaux et s’assise sur son lit. Elle regarda le bureau pour qui elle avait dépensé autant de force juste en la déplacent un peu plus à gauche. Elle regarda par la fenêtre et perçut qu’elle était à quelque mètre du grand saule. Quand elle se retourna et vit des douzaines de boîte encore fermé, elle aurait cru que ses épaules s’étaient alourdies de trois tonnes. Elle se dirigea vers les cartons et remarqua qu’un carton portait le nom de son père « Clark ». Elle s’agenouilla pour ouvrir la boîte, curieuse de savoir ce qui pouvait se trouvé dedans. Elle fut surprise de trouvé que le carton était vide, et pourtant quand elle le secouait quelque chose résonnait. Elle transporta alors la boîte dans le couloir pour la montré à Tom. Elle le secoua encore et entendit bruiter. Tom débarqua auprès d’elle.
-Que fait tu avec se carton ? Demanda-t-il.
-Secoue-le, dit Alice en lui tendant l’objet.
Tom le secoua et entendu bourdonner.
-Qu’est ce qu’il y a là dedans ?
Alice haussa les épaules.
-Il n’y a rien dedans, dit-elle, regarde.
Tom ouvrit la boîte et fut interloqué. Il ferma les yeux puis secoua la tête.
-Quoi ? Mais ce n’est pas logique.
Il observa attentivement l’objet et aperçus une enveloppe coincer entre les bords. Il la retira.
-Regarde, lança-t-il à Alice en lisant au dos de l’emballage.
Il était écrit à l’encre noire :
De Mark Perry
Pour Clark Perry
Dans le Monde temporaire de déploie envouté.
-C’est mon père qui l’a envoyé à ton père.
-J’avais compris, dit-elle. Mais que signifie cette adresse ?
-Nous le saurions en lisant le contenue de la lettre, répondit-il en ouvrant l’enveloppe.
Cher frère,
Les temps se sont agité au sous centre. Depuis que Lord Middley à appris la disparition d’Anneliese Perry, il ne cesse de dramatisé encore plus la situation qu’elle ne l’était avant. Les racines du grand arbre commencent déjà à sortir de terre. Moi et Lutèce avons nous même jeté un sort au sol pour assurer la sécurité des habitants. Heureusement que nous somme plus puissant qu’avant. Pendant ton absence, le conseil m’a demander de détruire la dernière pièce du cristal d’Océanite, mais je savais à quelle point tu y tenais alors je l’ai envouté de façon à ce que personne ne le trouve appart toi. Il est désormais à toi quoi qu’il se passe. Le sortilège pourrait ne pas marcher et nous savons tout les deux quelle grave danger peut on risquer si elle se retrouvait entre de mauvaise main. Je n’ai trouvé qu’un seul moyen d’empêcher que cela arrive mais le prix à payer est beaucoup trop élevé. Je m’engage à porter le lourd fardeau que de ne jamais reposé en paix temps que le cristal ne se retrouve pas en ta possession.
Peut être à Dieu, je te souhaite une longue vie.
Mark Perry.
Alice et Tom restèrent bouche bée devant le récit de Mark Perry. Ils ne pouvaient imaginer de quoi cette lettre était il vraiment question.
-Tu connais cette Anneliese Perry ? Demanda Tom.
-Non, répondit Alice. Cette lettre n’est surement qu’un exemplaire des centaines que nos pères se sont envoyé pour s’amuser.
Tom resta intrigué.
-Si c’est vrai, dit-il, pourquoi n’avoir gardé que celle-ci ?
Alice ne s’était pas posé cette question. S’il y en avait des centaines comme elle le dit, pourquoi cette seule lettre n’a-t-il pas été jeté avec les autres ?
Alice regarda Tom en cherchant une explication puis elle secoua la tête.
-Arrête de supposé des choses, dit-elle. Ne cherchons pas à en savoir plus. C’était donc la lettre qui faisait le bruit, un point c’est tout !
-Les enfants ! cria Isabelle au rez-de-chaussée. Venez diner !
Alice prit la boîte et partit la déposé dans sa chambre. Elle était plus affecté par leur discutions qu’elle n’avait pensé. Tom était parfois aussi logique qu’elle et prenait souvent de l’avance avec des superstitions. Mais elle trouvait toujours le moyen de renverser la situation. Quand quelque chose la dérangeait, cette chose ne persiste pas temps qu’elle se concentre sur autre chose.
Le Monde temporaire de déploie envouté
Alice portait un grand carton dans ses mains et descendait les escaliers. Le poids de la boîte la tirai vers le sol et elle prit quelque temps pour s’équilibré. Quand elle mit pied à terre, elle posa le carton sur le planché rempli d’autre boîte aussi lourde.
Après les examens de fin d’année, Alice avait parlé de la colonie de vacance à sa mère. Isabelle avait trouvé le bon côté des choses dans la proposition. Mais il était aisé pour Alice de lui en dire beaucoup plus sur les inconvénients. Il valait mieux pour elle de resté aidé sa mère à préparé leur déménagement.
Leur salon ressemblait à un vide grenier maintenant qu’ils avaient emballé toute leur affaire. Alice n’aurait jamais cru qu’elle avait autant de livre. Une vingtaine de carton contre le mur portait son nom. Tom débarqua dans le salon avec deux cartons remplie de vieil album photo poussiéreux. Il les lâcha subitement et provoqua un levé de poussière. Alice s’avança vers lui en regardant étrangement les cartons.
-Où as-tu trouvé ça ? Demanda-t-elle en feuilletant un album.
-Ils étaient caché sous le lit de ta mère, dit-il en frottant son pantalon.
Alice tourna les vieilles pages du recueille et laissa tombé une photo. Elle l’a prit et se mit à rire.
-Qu’est ce que c’est ? demanda Tom.
- C’est la photo qu’on à prise lors de mon cinquième anniversaire, dit-elle entre deux rires.
Tom regarda l’image à son tour et reconnue un petit garçon avec des lunettes ronde qui ne tenaient même pas sur sa tête. Il était sous une table en train de feuilleté un livre tandis qu’une petite fille à couette soufflait les bougies d’un gros gâteau. Tom rit à son tour.
-Je m’en souviens, dit-il. Ce livre était ton recueil de conte grec, pas vrai ? J’étais tout petit à l’époque. Malheureusement, maintenant je n’ai plus de cachète pour lire lors des fête de famille.
Alice lui donna un coup amical dans les côtes.
-On t’avait cherché partout et tu étais sous la table en train de lire un des livres que j’ai eu en cadeaux.
-D’ailleurs, où il est, ce livre ?
-Tu penses bien que je perdrais la tête si je ne l’avais plus. Ce livre me tien beaucoup à cœur te t’en souviens ? dit-elle en regardant l’album.
Tom prit un album aussi et le feuilleta. Il s’arrêta sur l’image de leur maison. Il n’y avait pas autant de plante dans leur jardin. Mais le charme de leur bâtisse était déjà là.
-Cette maison va me manqué, dit-il en fermant l’album.
-A moi aussi, dit Alice en fermant les cartons.
Personne ne pipa mot. Ils restèrent là à se remémoré leur bon moment passé dans la maison.
-Les enfants ! Appela une voix de l’extérieur.
Ils se levèrent et se dirigèrent vers la porte. Isabelle était en train de discuter avec un homme qui était au volant d’un grand camion bleu.
-N’vous inquiété pas m’dame, dit-il. Nous somme des professionnels.
-Je n’en doute pas mais, faite quand même attention aux cartons fragile. J’ai de très précieuses vaisselle en porcelaine qui…
-Tout ira bien ! dit le bonhomme en coupant Isabelle. Vous tenez au bon service pour de bon plat. Comme tout le monde. Tout est prit en main ! Mon équipe et moi, nous avons de l’expérience.
-Très bien, accepta Isabelle.
Elle se tourna vers la porte et vu Tom et Alice. Elle esquissa un sourire.
-L’équipe de déménagement est là, dit-elle. Tout est près ?
-Oui, répondit Tom.
Isabelle se tourna vers le bonhomme.
-Vous pouvez commencer, lui dit-elle.
Le bonhomme esquissa un sourire.
- Bougeons-nous les gars ! cria-t-il. Ces cartons ne vont pas se déplacé tout seul !
Des hommes en uniforme bleu sortirent du camion et salua Isabelle avant de se précipité vers leur salon. Alice et Tom les regardèrent s’emparé de plusieurs boîte à la fois. Isabelle s’approcha d’eux et mit une main sur l’épaule de son neveu.
-Vous avez finit vos valises ?
-Tout est emballé, rassura Alice.
-Bien ! dit Isabelle. Je vais ouvrir le coffre de la voiture. Venez me rejoindre quand vous aurez descendu vos bagages.
Ils hochèrent leur tête et montèrent les escaliers.
Après quelques heures d’attente. L’équipe du bonhomme finit part embarqué toute leur affaire. Alice et Tom étaient assis aux chaises arrière de leur voiture. Isabelle ferma une dernière fois la porte de leur maison et entra dans l’automobile. Elle mit le contacte et démarra le moteur.
-Nous partons ! cria-t-elle au bonhomme.
-On vous suit ! répondit le bonhomme.
Ils contemplèrent une dernière fois leur maison et roulèrent tranquillement sur la route. Très vite, ils atteignirent un croisement où ils tournèrent à gauche.
Le trajet était silencieux. On n’entendait qu’un flash d’information à la radio. Alice et Tom étaient assis de part et d’autre de la chaise arrière. Ils avaient les yeux fixés sur le paysage de colline et d’arbre. Ils avançaient doucement sur le chemin goudronné quand ils croisèrent un camion qui faillit se heurté contre eux. Isabelle tourna le volant et échappa de justesse à un grave accident.
Cela fait désormais quatre heures que personne ne parlait. Isabelle comprenait bien pour quoi.
-Vous n’êtes pas content de bientôt visité l’I.A.P.A ? demanda-t-elle.
-Si ! s’écria Alice. Mais…
-si seulement on pouvait déplacer notre belle vieille maison, dit Tom.
Isabelle acquiesça en comprenant ce que Tom voulait faire saisir.
-Vous savez, c’est un mal pour un bien, dit-elle. On ne quitte pas notre demeure par plaisir. Mais c’est parce qu’on est obligé. Vous comprenez ?
-C’est vrai maman, approuva Alice.
-Oui.
Ils continuèrent leur route. Le flash d’information fit place à une compile de chanson mélancolique. Alice et Tom s’endormirent et se réveillaient de temps en temps quand la voiture bondissait sur une bosse. Isabelle jetait parfois un coup d’œil au camion de déménagement pour s’assuré que celui-ci les suivait toujours. L’automobile bleu d’Isabelle pénétra dans un village qui fit très vite place à une ville charmante. Chaque quartiers avaient des point qui les faisait se démarqué. Les maisons avaient de très belle toiture en tuiles. Les routes étaient bordées de petite plante qui ajoutait des flatteries. Les rues étaient tellement spacieuse que le camion n’eu aucune peine pour se faufilé.
Aussi tôt, Isabelle se gara devant un panneau qui indiquait une demeure vendu. Alice et Tom se redressèrent et reconnue tout de suite leur nouvelle maison. C’était une belle résidence avec une toiture en tuile et un peu plus grande que leur ancienne maison. Elle était construite en pierre grise avec quelque roche blanchit. Le jardin était deux fois plus large et plus fleurit que la leur avant. En voyait dépassé les branches d’un saule derrière la bâtisse. Ils tombèrent tout de suite sous le charme. L’impression d’abandon par rapport à leur ancienne maison les quitta soudainement. Ils s’adressèrent un sourire béat. Ils descendirent de la voiture et rejoignit Isabelle qui parlait avec le bonhomme.
-On y est ? Demanda le monsieur.
-Oui, dit Isabelle. Vous pouvez décharger nos affaires.
Il se tourna vers son équipe qui le regarda sans intention.
-Déchargé tout, voyons ! ordonna-t-il et tous s’empara des cartons.
Les jeunes suivirent Isabelle qui ouvrit la porte d’entré et pénétrèrent dans l’enceinte magnifique.
-Tu as fait une bonne affaire tante Isa, déclara Tom.
-Je sens que cette maison regorge de secret, dit Alice en écarquillant les yeux.
Pendant qu’ils restèrent à contemplé la maison de l’extérieur, Isabelle décida d’entré.
-Tu as vu l’arbre ? Questionna Alice.
-Un endroit parfait pour lire, répondit Tom.
Ils se regardèrent joueur.
-On fait la course, décida Alice qui fonça sans attendre vers le grand saule.
Tom était encore en train d’admiré le paysage et n’entendit aucun mot de se qu’Alice disait.
Alice était arrivée au pied de l’arbre et regarda l’arbre de bas. Devant celui-ci elle était plus grande que trois pommes. Le feuillage du saule était très frais et claire. Tom arriva après quelque minute et se mit à côté de sa cousine.
-Tu m’aides à y monté ? Demanda Alice.
Tom réfléchit et pris un air gêné.
-Je peux mais… Je devrais partager avec toi ce coin de lecture et ce point de vue astronomique idéal.
Alice grogna les bras croisées. Tom ne ratait pas l’occasion de la taquiné. Tom se mit à rire.
-Je plaisante, dit-il. Je t’aiderais à y monté mais tout à l’heure sœurette.
Alice aimait bien pensé que Tom était son frère. Ils se comportaient comme telle depuis toujours. Ils avaient peut être le même âge mais ils considéraient le fait que Tom avait deux mois de plus qu’Alice.
Ils entrèrent dans la maison et furent encore plus émerveillé que des enfants dans un magasin de bonbon. L’intérieur avait été gardé en pierre comme la devanture. Un escalier de roche conduisait au premier étage. Le rez-de-chaussée était très bien aéré par les grandes fenêtres blanches et le salon était simple, mais avait une chaleur accueillante. Les jeunes se sentirent tout de suite chez eux. Ils avaient hâte d’entamé une novelle période de leur vie dans cette belle bâtisse.
Après trois heures, chaque carton avait été emmené dans les pièces désigné pour celle-ci. Tom et Alice avait aperçu leur nouvelle chambre toute aussi spacieuse l’une que l’autre. Mais ce qu’ils avaient découvert de plus incroyable c’était la bibliothèque qui occupait au moins deux salles entière. C’était la plus grande pièce de la maison.
Chacun se mit à rangé ses affaires, ils avaient beaucoup de travail. Alice finit de fixé ses rideaux et s’assise sur son lit. Elle regarda le bureau pour qui elle avait dépensé autant de force juste en la déplacent un peu plus à gauche. Elle regarda par la fenêtre et perçut qu’elle était à quelque mètre du grand saule. Quand elle se retourna et vit des douzaines de boîte encore fermé, elle aurait cru que ses épaules s’étaient alourdies de trois tonnes. Elle se dirigea vers les cartons et remarqua qu’un carton portait le nom de son père « Clark ». Elle s’agenouilla pour ouvrir la boîte, curieuse de savoir ce qui pouvait se trouvé dedans. Elle fut surprise de trouvé que le carton était vide, et pourtant quand elle le secouait quelque chose résonnait. Elle transporta alors la boîte dans le couloir pour la montré à Tom. Elle le secoua encore et entendit bruiter. Tom débarqua auprès d’elle.
-Que fait tu avec se carton ? Demanda-t-il.
-Secoue-le, dit Alice en lui tendant l’objet.
Tom le secoua et entendu bourdonner.
-Qu’est ce qu’il y a là dedans ?
Alice haussa les épaules.
-Il n’y a rien dedans, dit-elle, regarde.
Tom ouvrit la boîte et fut interloqué. Il ferma les yeux puis secoua la tête.
-Quoi ? Mais ce n’est pas logique.
Il observa attentivement l’objet et aperçus une enveloppe coincer entre les bords. Il la retira.
-Regarde, lança-t-il à Alice en lisant au dos de l’emballage.
Il était écrit à l’encre noire :
De Mark Perry
Pour Clark Perry
Dans le Monde temporaire de déploie envouté.
-C’est mon père qui l’a envoyé à ton père.
-J’avais compris, dit-elle. Mais que signifie cette adresse ?
-Nous le saurions en lisant le contenue de la lettre, répondit-il en ouvrant l’enveloppe.
Cher frère,
Les temps se sont agité au sous centre. Depuis que Lord Middley à appris la disparition d’Anneliese Perry, il ne cesse de dramatisé encore plus la situation qu’elle ne l’était avant. Les racines du grand arbre commencent déjà à sortir de terre. Moi et Lutèce avons nous même jeté un sort au sol pour assurer la sécurité des habitants. Heureusement que nous somme plus puissant qu’avant. Pendant ton absence, le conseil m’a demander de détruire la dernière pièce du cristal d’Océanite, mais je savais à quelle point tu y tenais alors je l’ai envouté de façon à ce que personne ne le trouve appart toi. Il est désormais à toi quoi qu’il se passe. Le sortilège pourrait ne pas marcher et nous savons tout les deux quelle grave danger peut on risquer si elle se retrouvait entre de mauvaise main. Je n’ai trouvé qu’un seul moyen d’empêcher que cela arrive mais le prix à payer est beaucoup trop élevé. Je m’engage à porter le lourd fardeau que de ne jamais reposé en paix temps que le cristal ne se retrouve pas en ta possession.
Peut être à Dieu, je te souhaite une longue vie.
Mark Perry.
Alice et Tom restèrent bouche bée devant le récit de Mark Perry. Ils ne pouvaient imaginer de quoi cette lettre était il vraiment question.
-Tu connais cette Anneliese Perry ? Demanda Tom.
-Non, répondit Alice. Cette lettre n’est surement qu’un exemplaire des centaines que nos pères se sont envoyé pour s’amuser.
Tom resta intrigué.
-Si c’est vrai, dit-il, pourquoi n’avoir gardé que celle-ci ?
Alice ne s’était pas posé cette question. S’il y en avait des centaines comme elle le dit, pourquoi cette seule lettre n’a-t-il pas été jeté avec les autres ?
Alice regarda Tom en cherchant une explication puis elle secoua la tête.
-Arrête de supposé des choses, dit-elle. Ne cherchons pas à en savoir plus. C’était donc la lettre qui faisait le bruit, un point c’est tout !
-Les enfants ! cria Isabelle au rez-de-chaussée. Venez diner !
Alice prit la boîte et partit la déposé dans sa chambre. Elle était plus affecté par leur discutions qu’elle n’avait pensé. Tom était parfois aussi logique qu’elle et prenait souvent de l’avance avec des superstitions. Mais elle trouvait toujours le moyen de renverser la situation. Quand quelque chose la dérangeait, cette chose ne persiste pas temps qu’elle se concentre sur autre chose.