The Heirs of Magic
written by Chloe Shinepark
This is a book that talk about enchanter's drama. The principal characters are cousins: Tom Kevin Perry and Alice Myriam Perry. They will enter in a land that they ever wished to be in and learn how to be a nice kind of enchanter... The book is actually in french but I wish I'll find a way to translate it in English. This is just a testing.
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05/31/21
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L'avenir de jeune adolescent
Chapter 2
Chapitre I
L’AVENIR DE JEUNE ADOLESCENT
-Alice ? demanda Monsieur Chris qui écrivait au tableau.
Une jeune fille se redressa de son pupitre et se tint debout.
-Oui, répondit-elle.
-Avez-vous terminé votre exposé pour Roméo et Juliette ?
-Oui, monsieur, répondit elle rassuré.
-Donnez le moi s’il vous plait.
Alice fouilla dans son cartable et en sortit sa rédaction d’au moins six pages. Toute la classe s’ahurit en voyant tout le travaille que la jeune fille avait effectué. Elle s’avança vers son tuteur et lui tendit ses feuilles. Le professeur s’assit devant son bureau et examina les rédactions d’Alice qui retourna à sa place. Il portait des lunettes, un foulard vert et une chemise blanche à longue manches. Il avait l’air satisfait du point de vue qu’Alice avait prit. Ses yeux s’écarquillèrent à mesure qu’il lisait chaque mot. Après quelque minute il reposa les papiers sur son bureau.
-J’admire votre point vue, déclara-t-il devant toute la classe qui était indifférent. Vous êtes une élève très appliqué et je vous en remercie. Prenez exemple sur votre camarade de classe. Maintenant veillez me rendre vos copies à chacun.
Les élèves se mitent à cherché dans leur casier. Ils se levèrent tous avec une feuille dans les mains écrite noir sur blanc. Ils avaient une trace de honte dans leur devoir. Ils se demandèrent d’où Alice sortait tout le tralala qu’elle avait put trouver dans un livre aussi petit et une histoire aussi barbante. Une fille à l’arrière de la file que ses camarades formaient était au bord des larmes. Sa feuille n’était remplie qu’à moitié. Roméo et Juliette ne lui inspirait pas beaucoup. Elle avait perdue tout espoir de pouvoir faire mieux qu’Alice à l’école. Elle essuya les quelques perle de larme dans ses yeux et regarda de nouveau sa rédaction. C’était à son tour de remettre sa copie au professeur. Elle la tenait fermement dans ses mains ne voulant pas la lui donné.
-Eh bien mademoiselle Catherine, dit il en regardant la jeune fille avec un sourire bien veillant. Avez-vous terminé votre rédaction ?
Catherine hocha la tête.
- Puis je voir votre travaille ?
Catherine secoua rapidement la tête et serra la feuille de plus en plus forte.
-Ne soyez pas timide voyant, je ne mords pas.
-Mais… parvint-elle à dire. Mais… mais je sais que je vais avoir une mauvaise note.
-Pourquoi dites vous ça ? Vous lisez dans mes pensées peut être ?
Le professeur plaisantait mais cela la rendait encore plus mal à l’aise.
- Donnez-moi votre feuille.
Le professeur la lui arracha des mains et il la lu. Catherine s’enfouit le visage dans les mains. Elle était la seule personne debout. Alice attendait les réactions du professeur. Même si elle avait déjà passé son tour, elle ne put qu’avoir peur en imaginant qu’elle était à la place de Catherine. Le professeur eu un sourire en coin.
-Votre travaille est satisfaisant mademoiselle Catherine.
Catherine n’en croyait pas ses oreilles. Alice se rassura.
-Quoi ? Demanda-t-elle incertaine.
-Oui, votre travaille est satisfaisant, affirma-t-il à Catherine qui dessina un sourire. Mais je vous encourage à faire mieux.
-Vous voulez dire que j’aurai la moyenne ?
-Bien sûr.
-Mais… Mais ma rédaction est tellement plus courte que celle d’Alice.
Alice sursauta sur sa chaise. Elle n’avait pas pensé que Catherine invoquerai son nom.
-Vous ne me croyez pas, n’est ce pas ? Demanda monsieur Chris en retirant ses lunettes.
Catherine resta muette.
-Retournez vous assoir, dit-il en se levant, je vais vous expliqué quelque chose.
Catherine se dirigea vers son pupitre encore étonné.
Le professeur se mit face à une fenêtre et regarda dehors. Il resta silencieux pendant un moment. Puis il se retourna vers ses élèves.
-Je vous ai dit tout à l’heure de prendre exemple sur Alice, dit-il. Mais je ne vous ai pas dit de vous comparé à elle. Depuis quelque temps, je remarque que tout le monde fait de son mieux pour avancer. Et cela me ravie vraiment. Mais sachez que si vous faite de votre mieux, ne regardez pas ce que les autres font. Si vous faite ça vous allez vous confrontez à tout le monde et vous serez arrogant et insolant. A force de vouloir faire plus que les autres vous ne serait plus vous-même et les gens perdront le gout d’apprendre à vous connaitre vraiment. Vous vous rebellerez contre qui conque et personne ne vous aimera. On se souviendra de vous comme étant la personne la plus affreuse au monde. Et ça peut vous rendre triste. Regardez cette pauvre Catherine qui se comparait à Alice, n’avez-vous pas vue son visage abattu ?
Tout le monde prenait compte que monsieur Chris disait tout ce qu’il a de plus vraie. Ils Acquiescèrent en un hochement de tête. Alice prit un carnet et un stylo pour prendre note. Elle ne ratait jamais l’occasion d’écrire tout les bon conseille et apprentissage de son professeur préféré. Ses mots avaient quelque chose de magique qui pouvait faire entendre raison à qui conque l’écoutait.
-J’espère que cela n’arrivera à aucun d’entre vous, dit-il en remettant ses lunettes.
Un grand CRRRRRRRR retentit et tout les élèves se mitent à ranger leur affaire. Le professeur prit les livres qui étaient sur son bureau et les emballa dans un sac à dos. Il prit les copies des élèves et les rangèrent dans une des poches du sac à dos. Tout le monde sortit de la classe sauf Alice.
-Vous ne partez pas Alice ?
-Je voulais vous demandé quelque chose.
-Qu’en est-il ?
Le professeur se dirigea vers le tableau et pris un chiffon pour l’effacé. Alice se mit à fermé les fenêtres. Leur salle de classe était plus large vue de l’estrade.
-Euh… Commença Alice. L’examen de fin d’année approche et je voudrais être très bien préparé.
-Vous l’êtes, je n’en doute pas, s’écria Monsieur Chris en train de fermé les rideaux.
-Je le suis peut être mais je ne le suis pas vraiment, vraiment.
Monsieur Chris ne comprenait rien à ce qu’elle voulu dire. Si elle était prête elle l’était surement vraiment.
-J’ai appris tout mes leçons, j’ai fais tout ce que j’ai pu pour n’avoir que des bonnes notes, j’ai essayé de bien m’entendre avec tout les professeurs, je n’arrête pas de lire, j’écoute bien les explications, je prends note de tout ce qui parait important, j’ai été honnête, je n’ai pas triché une seule fois, j’ai tout préparé dès que les examens de l’année dernière se sont terminé … Durant cette année scolaire j’ai tout donné, je n’ai rien négligé et pourtant,…
-Pourtant ?
-Pourtant j’ai l’impression d’avoir oublié quelque chose…
Le professeur s’approcha d’Alice et mit une main sur son épaule. Il la regarda droit dans les yeux.
- Sauriez-vous de quoi il s’agit ? Demanda-t-elle.
-Comme je vous l’ai dit, déclara-t-il. Vous êtes une élève très appliqué, très brillante. Toutes vos résolution on été accomplie et vous êtes sur de recevoir un prit de la part du proviseur en ayant prouvé que vous êtes la meilleur élève de cette année et des années précédentes aussi. Vous avez prit l’étude comme,… comme une sorte de,… une sorte de passion. Mais à cause de ça vous perdez du temps pour vos autres occupations.
Alice ne clignait plus des yeux. Un torrent de compliment et d’apprentissage gratuitement. Mais de quelles autres occupations voulait-il parlé ? Depuis la classe de onzième elle a toujours aimé étudié, apprendre de nouvelles choses. Elle usa de tout son temps libre pour en savoir plus sur tout ce qui lui entrait par la tête. Elle rédigeait des exposés qu’elle fit corriger à ses professeurs. Elle passait la récréation à la bibliothèque. Elle demandait plus de devoir à faire. Les enseignants ont toujours apprécié son enthousiasme et sa joie d’apprendre. Sa curiosité les dérangeait au début mais sa curiosité lui servait à fournir plus de bonne idée. Ses parents ont toujours été fiers d’elle. C’était une famille de surdouée. Son père, Clark Perry, était un ingénieur renommé. Sa mère, Isabelle Perry, est un médecin prodigieux. Elle avait tout pour assuré son avenir.
-Mais de quelles autres occupations parlez-vous ?
Le professeur s’étonna.
-Je parle de ce que vous faites quand vous avez du temps libre, dit-il.
Alice le regardait bizarrement. Le professeur se racla la gorge.
-J’aurai dû commencé par là, dit-il. Que faite vous pendant votre temps libre ?
Alice réfléchit en pressant ses lèvres contre son index.
-D’habitudes je lis.
Le professeur écarquilla ses yeux de plus belle. C’est exactement la réponse qu’il ne voulait nullement entendre. Même s’il savait qu’Alice aimait bouquiner et se documenté, il ne pensait pas qu’elle n’ais d’autre activité.
- Mais cela n’est plus une activité Alice, dit-elle en se dirigeant vers son sac à dos.
Alice resta là sans bouger. Elle prenait la lecture comme une sorte d’amusement pour son imagination. Elle avait toujours pensé que c’était déjà une activité. Le professeur farfouilla dans ses affaires et en ressortit un prospectus plein d’image. Il tendue la brochure à Alice. Alice fixait le livret sans lire les mots. Elle avait compris de quoi il s’agissait simplement en regardant les images de gens autour d’un feu de camp, avec des maillots de bain sans oublié ceux qui escaladait une montagne et ceux qui faisaient du canoë au clair de lune.
-C’est un renseignement sur les tournés de vacances organisé par l’école ?
-Absolument ! s’écria Monsieur Chris.
Alice passa en revue tout ce qu’ils proposaient et resta pantoise. Il n’y avait pas de sortit culturelle pour exploré les endroits, pas de visite de musée, pas d’étude de la faune ni de la flore. Pas beaucoup de chose qui pourrait lui enrichir le cerveau. A vrai dire, elle n’était pas très enthousiaste à l’idée de partir avec une bande de collégien surexcité et passé tout l’été sans regarder aucun documentaire. Monsieur Chris attendait sa réaction quand Alice se tourna vers lui incertaine.
-Vous me proposé de partir en voyage avec le camp de vacance ? Demanda-t-elle. ¬¬¬¬
Monsieur Chris hocha la tête et esquissa un sourire malicieux.
-Une petite sortit en plein air ne vous ferait que le plus grand bien ! Dit-il en raccompagnant Alice jusqu’à la porte.
-Mais monsieur, dit Alice. Je ne suis pas vraiment intéressé…
-Vous verrez ! Les vacances avec des camarades de classe sont inoubliables !
-Mais…
-Emmenez donc votre cousin ! Comment s’appelle-t-il déjà ?
-Tom ?
-Oui, c’est ça! Vous vous sentirez moins seule !
Monsieur Chris ne cessa de lui coupé la parole. Il ouvrit la porte et Alice sortit. Elle se retourna vers son professeur.
-Qu’aurais-je à y gagné ?
Le professeur réfléchit.
-L’occasion de passé du bon temps !
-Mais…
-Il se fait tard maintenant. Rentrez chez vous. N’oubliez pas de faire vos devoirs.
Monsieur Chris ferma la porte et Alice se retrouva seule dans un couloir remplie d’élèves.
Elle marcha sur les carreaux blanc de son école tout en parcourant le prospectus que Monsieur Chris lui à donné. Elle se souvint des paroles que ce dernier lui avait dites. Que pouvait-elle pratiqué pour que le bon temps vienne à elle ? Et de plus elle ne sait pas comment réorganisé son agenda car elle avait prévue beaucoup d’autre chose à faire. Elle lu et relu tout les sujets de la brochure. Le prix du transport et de la nourriture ainsi que les quelques argents de poches dont elle aurait besoin ne l’ennuyait pas. Mais un problème resta immense. Avec qui pourrait-elle parlé ? Avec qui partagerait-elle sa tente ? Où allait-elle trouvé une tente ? Avec qui pourrait-elle s’associé au cas où il aurait des jeux d’équipes ? Elle pesait le pour et le contre et aperçu plus de contre que de pour. Trois jeunes filles lui coupèrent la route soudainement. Elles avaient les cheveux blonds et avaient les visages trop maquillé. C’était la révolution de la couleur rose : ballerine rose, gilet rose, serre-tête rose, boucle d’oreille en perle rose, bracelet rose et sac à main rose. Alice connaissait bien ces filles. Elle se souvient du surnom absurde au quel elle avait eu droit en primaire. Elles la regardèrent de la tête aux pieds. L’une d’elle aperçu la brochure qu’Alice tenait dans les mains.
-Ne me dit pas que tu viens à la colonie de vacance ? Se moqua-t-elle et ses compagnes ricanèrent.
Alice n’osa pas les regardé dans les yeux.
- Rien à redire miss lunettes ? demanda une autre fille.
Alice ne pipait mot. La fille se tourna vers ses compagnes qui esquissaient des grimaces exaspéré. Elle en fit de même.
-C’est bien ce que je pensais. Si tu t’avise à allé à cette colonie de vacance que mon père à gentiment suggérer au proviseur, dit-elle en se tournant vers Alice.
Alice s’efforçait de ne pas entendre quand la fille compris ses intentions. Elle claqua des doigts.
-On me regarde quand je parle, ordonna-t-elle et Alice releva la tête. Je disais que si tu t’avise à allé à cette colonie de vacances, je te suggère de gardé une certaine distance avec nous.
Les autres filles Acquiescèrent avec un sourire.
-On ne voudrait surtout pas que tu viennes polluer notre air qui…
Elle huma et grimaça contres ses amies. Elle croisa les bras.
-Pourquoi je ne sens rien ? demanda-t-elle furieuse.
-C’est parce que
-Pas de parce que ! s’écria-t-elle. Remédiez y et vite.
Une fille sortit un flacon de parfum de son sac et en pulvérisa. Elle vaporisa Alice qui dut fermer les yeux. L’autre fille huma encore et se satisfait.
-C’est mieux, dit-elle.
Elle se retourna vers Alice.
-Tu as compris j’espère ? Dit-elle. Je n’aimerai pas avoir à tout répéter.
Elle claqua de nouveau des doigts et elles se dirigèrent vers des casiers. Elles eurent à faire voleter leurs cheveux au vent. Alice les regarda partir et se précipita vers les escaliers tout en pressant l’allure. Voilà une raison de plus pour qu’elle n’aille pas dans ce stupide colonie de vacance. Très vite emporté par sa colère, elle se retrouva dans le hall où il y avait des vitrines qui protégeaient des médailles et des coupes en or. Des rubans bleus remporté au cours des rencontres sportives. Elle pressa le pas pour faire face à une grande devanture avec des trophées en or et en argent. Il y avait un trophée qu’elle fixait particulièrement. Il avait la forme d’un livre ouvert avec le nom « Alice Myriam Perry » écrit argenté sur doré. Elle l’avait remporté en gagnant le concours de grande littérature des élèves de sixième. C’était la seule chose qui pouvait la réconforté à l’école. Savoir qu’elle marquait son existence dans cet établissement lui faisait garder la raison quand elle était triste. Elle pouvait tout supporter : être grondé, se faire punir, être en retenue (ce qui ne lui arrivera probablement jamais). Mais il y a certaine chose qui la touche au plus profond d’elle-même. Et tout se montre sous forme de colère ou de tristesse qu’elle ne sait malheureusement pas maintenir. Elle se dirigea vers la grande porte de l’école et elle entama quelque marche avant d’atterrir sur la pelouse. Elle se dirigea encore vers une autre porte en fer qui servait de porte d’entré. Elle était grande ouvert et gardé par un garde. Elle donnait sur un trottoir.
C’était comme ça tout les jours. Ces filles l’embêtait et ne la laissait pas vivre. Mais elle ne supportait plus. Elle sait pourtant qu’elle n’est pas comme les autres. Elle était unique, personne ne pouvait prétendre lui ressemblé. Ses cheveux châtains, sa robe bleu, son gilet blanc et son sourire angélique, tout semblait ordinaire. Mais quelque chose en elle resta spéciale. Il y a des moments où elle se sent à l’écart mais son père lui faisait éprouver le contraire. Plus elle pensait, plus le chemin du retour semblait court. Elle aperçu au loin une boite au lettre blanche qui indiquait l’entré de sa maison. Elle accéléra la cadence et arriva bientôt devant une clôture blanche. Elle poussa l’accès et se retrouva dans un jardin fleurit. Elle faisait face à leur maison jaune avec un toit en tuile. Une voiture bleue était garée devant la barrière. Cela ne présageait que l’arrivé de sa mère à Alice. Elle ouvrit la porte et se retrouva dans un large salon. Le carrelage était marron avec des formes de losange. Il y avait des canapés couleur crème devant une table en bois sur laquelle était posé un vase en forme de signe coiffé par des tulipes et des marguerites fraichement cueilli. Il y avait aussi un grand cheminé sur lequel il y avait des cadres à photo. Un jeune garçon était assit confortablement sans se douté de rien en train de lire un livre. Alice fouilla la pièce du regard.
-Où est ma mère ? Demanda-t-elle au jeune garçon qui sursauta.
-Tu m’as fait une de ces peurs, dit-il en se tournant vers Alice. Elle est dans le jardin derrière.
Alice s’assit à côté de lui et posa son cartable.
L’heure était arrivé de diné, chez les Perry. Alice avait dressé la table et frotta encore un verre. Sa mère avait préparé de la soupe aux pommes de terre. Après que tout soit prêt, ils se mirent à table. Isabelle avait bien remarqué l’attitude bizarre de sa fille. Tout en elle lui rappelait son mari. Elle fit semblant de rien. Le diné était un peu trop silencieux et à chaque bouché, le visage d’Alice devenait un peu plus grave.
-Vous avez passé une bonne journée à l’école ?
Cette question alluma l’alarme d’Alice. C’était le moment ou jamais de dire tout ce qu’il lui était arrivé.
- Parfait, dit le jeune garçon.
-Insupportable ! s’écria Alice.
Isabelle sursauta même si elle s’en doutait bien.
-Ce stupide surnom est encore revenu, dit-elle, des filles m’ont encore appelé « miss lunettes » ce qui est parfaitement illogique. Après tout ! Se sont elles qui ont le plus besoin de lunettes. Au cas où elles ne l’auraient pas remarqué je n’en porte pas !
-Calme toi ma chérie, rassura sa mère. Des choses comme ça sont inévitable. Surtout au collège.
- Peut être. Mais ces choses m’arrives plus souvent qu’à d’autre. Mais qui a bien pu inventer ce sobriquet de malheur. Cette personne devait surement être aveugle.
-Arrêtes, dit sa mère, cette personne devait surement être jalouse de toi.
-Jalouse de moi ? Demanda Alice interloqué. Mais pourquoi ?
-Parce que tu es brillante, répondit Isabelle.
-Mais cela n’est pas vraiment une raison !
Le jeune garçon se mit à gloussé et à ricané. Alice le foudroya du regard.
-Qu’est ce qui te fait rire Tom ?
- Excuse-moi, parvint-il à dire entre deux rires. Excuse-moi mais c’est la première fois que je te vois autant énervé.
Il continua de ricané.
-ça n’a rien de drôle ! répliqua-t-elle en grimaçant. Tu n’as jamais eu de surnom toi, tu ne sais pas ce que ça fait.
Tom se racla la gorge et cessa de rire.
-Si j’en ai eu, dit-il. Même que j’en ai eu trois.
Alice se calma un peu.
-C’est vrai ? Demanda-t-elle.
-Oui, dit Tom. En primaire, ils m’appelaient « jambe de bois ».
-Pourquoi ?
-Parce que je courrais aussi vite qu’un escargot. Ils m’appelaient aussi « casse pied » ou encore « le chouchou ». Tu devrais arrêter de te sentir humilié.
-Tom à raison, acquiesça Isabelle. Tu n’as pas à t’humilié. Et puis, tu l’as dit toi-même. C’est eux qui devraient avoir honte. Comment peut on surnommé une personne qui ne porte même pas de lunette « miss lunettes ». Ce n’est vraiment pas logique.
Alice fixa la table.
-Pas logique du tout, marmonna-t-elle.
Un ange passa, plus personne ne disait rien. Ils continuèrent de mangé dans un silence absolue. Alice avait préservé pour elle toutes les recommandations de son professeur. Il lui fallait encore du temps pour y pensé. Mais une partie de ce qu’il avait dit la fit plus réfléchir qu’elle ne l’aurait voulu.
Après diné, Alice remonta dans sa chambre. Sa chambre avait une bibliothèque personnelle et un large bureau. Les murs étaient peints en violet. Il y avait une grande fenêtre peint en blanc qui laissait pénétrer la lumière de la lune. Son lit était dans un coin à côté d’une table de chevet. Un grand coffre était placé devant. Elle alluma la lumière et la pièce s’éclaira. Elle s’assit sur son lit et regarda les étoiles. Une décision n’allait pas être facile à prendre.
Après une nuit mouvementée par des bruits de leur voisin qui démangeait à dix heures du soir Alice se prépara pour aller à l’école avec son cousin Tom. Le père de Tom était le frère du père d’Alice. Tom n’avait connue que lui car à sa naissance sa mère fut envoyer se faire soigné en Europe à cause d’une maladie grave. Son père était censé partir en voyage d’affaire d’une durée de deux mois, mais voilà qu’après un an il n’est jamais revenu. La police avait cherché dans tout les endroits possible où il serait allé mais après des mois de fouille, ils ont décidé d’abandonné. Isabelle décida de s’occupé de lui et de son éducation tout le temps qu’il faudra pour que tout sois en ordre. Alice et lui allait dans une école qui n’a jamais eu de nom précis. Les habitants connaissaient l’établissement sous le nom de « Collège De La Verte Classe ». Eux deux avait été sollicité à passé l’examen d’entrée à « L’Institut Avancé Des Privilégiés d’Amérique » et ils attendent toujours les réponses de leur teste. Isabelle avait déjà prévue leur déménagement. Elle n’avait aucun doute sur leur admission.
Alice descendit les escaliers avec son cartable. Une chose qu’elle avait en tête la poussa à chantonné jusqu’à la cuisine où sa mère l’attendait. Elle se dirigea vers la table et s’assit sur une chaise.
-Bonjour Maman, dit-elle tout en tartinant un pain de confiture.
-Bonjour, répondit-elle. Tu as bien dormi on dirait.
Alice haussa les épaules.
-Pas vraiment, dit-elle.
Sa mère s’assit devant elle et mélangea son café avec sa cuillère. Alice avala une bouché de sa tartine et s’en satisfait.
-Il y a du courrier ? Demanda-t-elle.
-Oui mais pas beaucoup qui sont important.
Alice versa du lait dans une tasse de thé et se rendit compte que sa journée n’était pas tellement prometteuse. Tom descendit les escaliers à toute allure et retrouva Alice et sa mère.
-Bonjour, lança-t-il.
-Bonjour, répondirent-elles à l’unisson.
-Il y a du courrier ?
-Pas ceux que nous attendions, dit Alice.
Tom se mit à trottiné sur place. Personne ne le remarqua alors il trottina encore plus vite. Il cherchait à attiré l’attention mais ni Alice ni Isabelle ne savait quelle question posé pour le satisfaire.
-Tu es prête ? demanda-t-il à Alice.
-Tu ne manges pas ? Mais qu’est ce qui te presse ? Questionna Isabelle.
-J’ai un cours passionnant sur les astres ce matin, dit-il enthousiaste, je ne veux pas être en retard.
-Mais vous n’êtes jamais en retard, répliqua Isabelle.
Alice se leva après avoir but son lait. Elle se mit à trottiné aussi.
-Je ne veux surtout pas que tu rates ce cours, dit-elle, on n’a pas eu l’opportunité d’y assisté. Je veux que tu prennes note pour moi.
-Allons-y alors ! s’exclama Tom et ils se dirigèrent vers la porte.
Isabelle les regarda s’en allé.
-A ce soir ! cria-t-elle.
-A ce soir ! dirent-ils.
Ils coururent le long du chemin et arrivèrent à l’école. Tom décida tout de suite d’allé dans la salle où se déroulera son cours. Alice passa près de la vitrine des trophées et esquissa un sourire en voyant son nom. Elle se dirigea vers les escaliers et croisa à nouveau les trois filles qui la regardaient avec dégout. Alice les ignora et continua son chemin avant de se retourné.
-Eh ! Appela-t-elle et les filles se tournèrent.
-Quoi ? Questionnèrent les filles l’air de dire : qu’est ce que tu veux encore ?
Alice leva la tête sure d’elle et prit une pose à l’aise.
-Le rose n’est plus vraiment à la mode maintenant.
Une des filles fronça les sourcils et allait remettre Alice à sa place quand les deux autres la retinrent de peur qu’elle n’abîme sa manucure.
-Je vous conseille de porté du bleu.
Alice fit semblant de partir mais resta caché pour entendre les filles ronchonné. Cela annonçait que sa journée avait quand même quelque étonnement.
La journée se passa comme elle avait commencé. Tom avait adoré son cours et Alice prenait plaisir à l’écouté expliqué ce qu’il avait appris d’intéressant. Le temps passer en route c’était vite dissipé. Ils arrivèrent alors dans leur jardin et s’apprêtèrent à entré chez eux mais ils ne se doutaient pas qu’une surprise les y attendait. Tom ouvrit la porte et une tonne de confetti tombèrent sur eux. Des ballons bleu et rose étaient accrochés un peu partout.
-Surprise ! cria Isabelle en sortant de nulle part.
Alice et Tom restèrent pantois ne sachant rien de ce qu’il se passait.
-Mais qu’est ce qu’il se passe? Demandèrent Tom et Alice à l’unisson.
Isabelle les poussaient vers les escaliers.
-Vous le saurez quand vous vous serez changé, dit elle tout en gardant le suspense.
Alice se mit à douté de quelque chose. Elle monta à vive allure dans sa chambre, posa son cartable par terre et se précipita vers son armoire.
Elle écarquilla les yeux. Ce qu’elle voyait accroché à son pendoir était la chose la plus miraculeuse qu’elle ai vue ce jour là. Un uniforme scolaire articlé d’une jupe verte, d’une chemise blanche, d’un gilet gris avec un logo portant les initiales I.A.P.A. Un sourire béat se dessina sur son visage. Elle entendit la réaction de Tom de l’autre côté du mur. Elle savait qu’il devait être aussi content qu’elle ne l’était. Isabelle dressait la table et entendait les cris de joie d’Alice et Tom. En quelque minute ils enfilèrent leur uniforme et descendirent les escaliers bruyamment. Isabelle les regarda fièrement. Elle tenait deux grandes enveloppes dans les mains. Alice et Tom se dressaient devant elle. Plus rien n’était secret maintenant qu’ils avaient eu droit à un indice. Les enveloppes ne faisaient que confirmer leur croyance. Isabelle tendit une à Alice et une à Tom. Ils les ouvrirent sans crier gare.
-L’Institut Avancé des Privilégiés d’Amérique vous félicite pour votre admission dans leur prestigieux établissement d’enseignement avancé pour les élèves qui ont eu le privilège de réussir avec grand succès les examens d’entrés.
Alice lu tout ce qu’il y avait d’écrit à haute voix et à chaque mot qu’elle lisait elle en fut de plus en plus satisfaite. Tom avait commencé à sautillé depuis qu’il avait ouvert son enveloppe. Isabelle les prit dans ses bras aussi fort qu’elle le pouvait.
-Vos pères seraient si fière de vous, dit-elle les larmes aux yeux.
Tom ne pouvait plus respiré. Il croyait exploser. Alice avait l’impression que son avenir était d’apprendre dans cette prestigieuse école.
La journée finit dans la joie. Mais le lendemain réservait autre chose…
L’AVENIR DE JEUNE ADOLESCENT
-Alice ? demanda Monsieur Chris qui écrivait au tableau.
Une jeune fille se redressa de son pupitre et se tint debout.
-Oui, répondit-elle.
-Avez-vous terminé votre exposé pour Roméo et Juliette ?
-Oui, monsieur, répondit elle rassuré.
-Donnez le moi s’il vous plait.
Alice fouilla dans son cartable et en sortit sa rédaction d’au moins six pages. Toute la classe s’ahurit en voyant tout le travaille que la jeune fille avait effectué. Elle s’avança vers son tuteur et lui tendit ses feuilles. Le professeur s’assit devant son bureau et examina les rédactions d’Alice qui retourna à sa place. Il portait des lunettes, un foulard vert et une chemise blanche à longue manches. Il avait l’air satisfait du point de vue qu’Alice avait prit. Ses yeux s’écarquillèrent à mesure qu’il lisait chaque mot. Après quelque minute il reposa les papiers sur son bureau.
-J’admire votre point vue, déclara-t-il devant toute la classe qui était indifférent. Vous êtes une élève très appliqué et je vous en remercie. Prenez exemple sur votre camarade de classe. Maintenant veillez me rendre vos copies à chacun.
Les élèves se mitent à cherché dans leur casier. Ils se levèrent tous avec une feuille dans les mains écrite noir sur blanc. Ils avaient une trace de honte dans leur devoir. Ils se demandèrent d’où Alice sortait tout le tralala qu’elle avait put trouver dans un livre aussi petit et une histoire aussi barbante. Une fille à l’arrière de la file que ses camarades formaient était au bord des larmes. Sa feuille n’était remplie qu’à moitié. Roméo et Juliette ne lui inspirait pas beaucoup. Elle avait perdue tout espoir de pouvoir faire mieux qu’Alice à l’école. Elle essuya les quelques perle de larme dans ses yeux et regarda de nouveau sa rédaction. C’était à son tour de remettre sa copie au professeur. Elle la tenait fermement dans ses mains ne voulant pas la lui donné.
-Eh bien mademoiselle Catherine, dit il en regardant la jeune fille avec un sourire bien veillant. Avez-vous terminé votre rédaction ?
Catherine hocha la tête.
- Puis je voir votre travaille ?
Catherine secoua rapidement la tête et serra la feuille de plus en plus forte.
-Ne soyez pas timide voyant, je ne mords pas.
-Mais… parvint-elle à dire. Mais… mais je sais que je vais avoir une mauvaise note.
-Pourquoi dites vous ça ? Vous lisez dans mes pensées peut être ?
Le professeur plaisantait mais cela la rendait encore plus mal à l’aise.
- Donnez-moi votre feuille.
Le professeur la lui arracha des mains et il la lu. Catherine s’enfouit le visage dans les mains. Elle était la seule personne debout. Alice attendait les réactions du professeur. Même si elle avait déjà passé son tour, elle ne put qu’avoir peur en imaginant qu’elle était à la place de Catherine. Le professeur eu un sourire en coin.
-Votre travaille est satisfaisant mademoiselle Catherine.
Catherine n’en croyait pas ses oreilles. Alice se rassura.
-Quoi ? Demanda-t-elle incertaine.
-Oui, votre travaille est satisfaisant, affirma-t-il à Catherine qui dessina un sourire. Mais je vous encourage à faire mieux.
-Vous voulez dire que j’aurai la moyenne ?
-Bien sûr.
-Mais… Mais ma rédaction est tellement plus courte que celle d’Alice.
Alice sursauta sur sa chaise. Elle n’avait pas pensé que Catherine invoquerai son nom.
-Vous ne me croyez pas, n’est ce pas ? Demanda monsieur Chris en retirant ses lunettes.
Catherine resta muette.
-Retournez vous assoir, dit-il en se levant, je vais vous expliqué quelque chose.
Catherine se dirigea vers son pupitre encore étonné.
Le professeur se mit face à une fenêtre et regarda dehors. Il resta silencieux pendant un moment. Puis il se retourna vers ses élèves.
-Je vous ai dit tout à l’heure de prendre exemple sur Alice, dit-il. Mais je ne vous ai pas dit de vous comparé à elle. Depuis quelque temps, je remarque que tout le monde fait de son mieux pour avancer. Et cela me ravie vraiment. Mais sachez que si vous faite de votre mieux, ne regardez pas ce que les autres font. Si vous faite ça vous allez vous confrontez à tout le monde et vous serez arrogant et insolant. A force de vouloir faire plus que les autres vous ne serait plus vous-même et les gens perdront le gout d’apprendre à vous connaitre vraiment. Vous vous rebellerez contre qui conque et personne ne vous aimera. On se souviendra de vous comme étant la personne la plus affreuse au monde. Et ça peut vous rendre triste. Regardez cette pauvre Catherine qui se comparait à Alice, n’avez-vous pas vue son visage abattu ?
Tout le monde prenait compte que monsieur Chris disait tout ce qu’il a de plus vraie. Ils Acquiescèrent en un hochement de tête. Alice prit un carnet et un stylo pour prendre note. Elle ne ratait jamais l’occasion d’écrire tout les bon conseille et apprentissage de son professeur préféré. Ses mots avaient quelque chose de magique qui pouvait faire entendre raison à qui conque l’écoutait.
-J’espère que cela n’arrivera à aucun d’entre vous, dit-il en remettant ses lunettes.
Un grand CRRRRRRRR retentit et tout les élèves se mitent à ranger leur affaire. Le professeur prit les livres qui étaient sur son bureau et les emballa dans un sac à dos. Il prit les copies des élèves et les rangèrent dans une des poches du sac à dos. Tout le monde sortit de la classe sauf Alice.
-Vous ne partez pas Alice ?
-Je voulais vous demandé quelque chose.
-Qu’en est-il ?
Le professeur se dirigea vers le tableau et pris un chiffon pour l’effacé. Alice se mit à fermé les fenêtres. Leur salle de classe était plus large vue de l’estrade.
-Euh… Commença Alice. L’examen de fin d’année approche et je voudrais être très bien préparé.
-Vous l’êtes, je n’en doute pas, s’écria Monsieur Chris en train de fermé les rideaux.
-Je le suis peut être mais je ne le suis pas vraiment, vraiment.
Monsieur Chris ne comprenait rien à ce qu’elle voulu dire. Si elle était prête elle l’était surement vraiment.
-J’ai appris tout mes leçons, j’ai fais tout ce que j’ai pu pour n’avoir que des bonnes notes, j’ai essayé de bien m’entendre avec tout les professeurs, je n’arrête pas de lire, j’écoute bien les explications, je prends note de tout ce qui parait important, j’ai été honnête, je n’ai pas triché une seule fois, j’ai tout préparé dès que les examens de l’année dernière se sont terminé … Durant cette année scolaire j’ai tout donné, je n’ai rien négligé et pourtant,…
-Pourtant ?
-Pourtant j’ai l’impression d’avoir oublié quelque chose…
Le professeur s’approcha d’Alice et mit une main sur son épaule. Il la regarda droit dans les yeux.
- Sauriez-vous de quoi il s’agit ? Demanda-t-elle.
-Comme je vous l’ai dit, déclara-t-il. Vous êtes une élève très appliqué, très brillante. Toutes vos résolution on été accomplie et vous êtes sur de recevoir un prit de la part du proviseur en ayant prouvé que vous êtes la meilleur élève de cette année et des années précédentes aussi. Vous avez prit l’étude comme,… comme une sorte de,… une sorte de passion. Mais à cause de ça vous perdez du temps pour vos autres occupations.
Alice ne clignait plus des yeux. Un torrent de compliment et d’apprentissage gratuitement. Mais de quelles autres occupations voulait-il parlé ? Depuis la classe de onzième elle a toujours aimé étudié, apprendre de nouvelles choses. Elle usa de tout son temps libre pour en savoir plus sur tout ce qui lui entrait par la tête. Elle rédigeait des exposés qu’elle fit corriger à ses professeurs. Elle passait la récréation à la bibliothèque. Elle demandait plus de devoir à faire. Les enseignants ont toujours apprécié son enthousiasme et sa joie d’apprendre. Sa curiosité les dérangeait au début mais sa curiosité lui servait à fournir plus de bonne idée. Ses parents ont toujours été fiers d’elle. C’était une famille de surdouée. Son père, Clark Perry, était un ingénieur renommé. Sa mère, Isabelle Perry, est un médecin prodigieux. Elle avait tout pour assuré son avenir.
-Mais de quelles autres occupations parlez-vous ?
Le professeur s’étonna.
-Je parle de ce que vous faites quand vous avez du temps libre, dit-il.
Alice le regardait bizarrement. Le professeur se racla la gorge.
-J’aurai dû commencé par là, dit-il. Que faite vous pendant votre temps libre ?
Alice réfléchit en pressant ses lèvres contre son index.
-D’habitudes je lis.
Le professeur écarquilla ses yeux de plus belle. C’est exactement la réponse qu’il ne voulait nullement entendre. Même s’il savait qu’Alice aimait bouquiner et se documenté, il ne pensait pas qu’elle n’ais d’autre activité.
- Mais cela n’est plus une activité Alice, dit-elle en se dirigeant vers son sac à dos.
Alice resta là sans bouger. Elle prenait la lecture comme une sorte d’amusement pour son imagination. Elle avait toujours pensé que c’était déjà une activité. Le professeur farfouilla dans ses affaires et en ressortit un prospectus plein d’image. Il tendue la brochure à Alice. Alice fixait le livret sans lire les mots. Elle avait compris de quoi il s’agissait simplement en regardant les images de gens autour d’un feu de camp, avec des maillots de bain sans oublié ceux qui escaladait une montagne et ceux qui faisaient du canoë au clair de lune.
-C’est un renseignement sur les tournés de vacances organisé par l’école ?
-Absolument ! s’écria Monsieur Chris.
Alice passa en revue tout ce qu’ils proposaient et resta pantoise. Il n’y avait pas de sortit culturelle pour exploré les endroits, pas de visite de musée, pas d’étude de la faune ni de la flore. Pas beaucoup de chose qui pourrait lui enrichir le cerveau. A vrai dire, elle n’était pas très enthousiaste à l’idée de partir avec une bande de collégien surexcité et passé tout l’été sans regarder aucun documentaire. Monsieur Chris attendait sa réaction quand Alice se tourna vers lui incertaine.
-Vous me proposé de partir en voyage avec le camp de vacance ? Demanda-t-elle. ¬¬¬¬
Monsieur Chris hocha la tête et esquissa un sourire malicieux.
-Une petite sortit en plein air ne vous ferait que le plus grand bien ! Dit-il en raccompagnant Alice jusqu’à la porte.
-Mais monsieur, dit Alice. Je ne suis pas vraiment intéressé…
-Vous verrez ! Les vacances avec des camarades de classe sont inoubliables !
-Mais…
-Emmenez donc votre cousin ! Comment s’appelle-t-il déjà ?
-Tom ?
-Oui, c’est ça! Vous vous sentirez moins seule !
Monsieur Chris ne cessa de lui coupé la parole. Il ouvrit la porte et Alice sortit. Elle se retourna vers son professeur.
-Qu’aurais-je à y gagné ?
Le professeur réfléchit.
-L’occasion de passé du bon temps !
-Mais…
-Il se fait tard maintenant. Rentrez chez vous. N’oubliez pas de faire vos devoirs.
Monsieur Chris ferma la porte et Alice se retrouva seule dans un couloir remplie d’élèves.
Elle marcha sur les carreaux blanc de son école tout en parcourant le prospectus que Monsieur Chris lui à donné. Elle se souvint des paroles que ce dernier lui avait dites. Que pouvait-elle pratiqué pour que le bon temps vienne à elle ? Et de plus elle ne sait pas comment réorganisé son agenda car elle avait prévue beaucoup d’autre chose à faire. Elle lu et relu tout les sujets de la brochure. Le prix du transport et de la nourriture ainsi que les quelques argents de poches dont elle aurait besoin ne l’ennuyait pas. Mais un problème resta immense. Avec qui pourrait-elle parlé ? Avec qui partagerait-elle sa tente ? Où allait-elle trouvé une tente ? Avec qui pourrait-elle s’associé au cas où il aurait des jeux d’équipes ? Elle pesait le pour et le contre et aperçu plus de contre que de pour. Trois jeunes filles lui coupèrent la route soudainement. Elles avaient les cheveux blonds et avaient les visages trop maquillé. C’était la révolution de la couleur rose : ballerine rose, gilet rose, serre-tête rose, boucle d’oreille en perle rose, bracelet rose et sac à main rose. Alice connaissait bien ces filles. Elle se souvient du surnom absurde au quel elle avait eu droit en primaire. Elles la regardèrent de la tête aux pieds. L’une d’elle aperçu la brochure qu’Alice tenait dans les mains.
-Ne me dit pas que tu viens à la colonie de vacance ? Se moqua-t-elle et ses compagnes ricanèrent.
Alice n’osa pas les regardé dans les yeux.
- Rien à redire miss lunettes ? demanda une autre fille.
Alice ne pipait mot. La fille se tourna vers ses compagnes qui esquissaient des grimaces exaspéré. Elle en fit de même.
-C’est bien ce que je pensais. Si tu t’avise à allé à cette colonie de vacance que mon père à gentiment suggérer au proviseur, dit-elle en se tournant vers Alice.
Alice s’efforçait de ne pas entendre quand la fille compris ses intentions. Elle claqua des doigts.
-On me regarde quand je parle, ordonna-t-elle et Alice releva la tête. Je disais que si tu t’avise à allé à cette colonie de vacances, je te suggère de gardé une certaine distance avec nous.
Les autres filles Acquiescèrent avec un sourire.
-On ne voudrait surtout pas que tu viennes polluer notre air qui…
Elle huma et grimaça contres ses amies. Elle croisa les bras.
-Pourquoi je ne sens rien ? demanda-t-elle furieuse.
-C’est parce que
-Pas de parce que ! s’écria-t-elle. Remédiez y et vite.
Une fille sortit un flacon de parfum de son sac et en pulvérisa. Elle vaporisa Alice qui dut fermer les yeux. L’autre fille huma encore et se satisfait.
-C’est mieux, dit-elle.
Elle se retourna vers Alice.
-Tu as compris j’espère ? Dit-elle. Je n’aimerai pas avoir à tout répéter.
Elle claqua de nouveau des doigts et elles se dirigèrent vers des casiers. Elles eurent à faire voleter leurs cheveux au vent. Alice les regarda partir et se précipita vers les escaliers tout en pressant l’allure. Voilà une raison de plus pour qu’elle n’aille pas dans ce stupide colonie de vacance. Très vite emporté par sa colère, elle se retrouva dans le hall où il y avait des vitrines qui protégeaient des médailles et des coupes en or. Des rubans bleus remporté au cours des rencontres sportives. Elle pressa le pas pour faire face à une grande devanture avec des trophées en or et en argent. Il y avait un trophée qu’elle fixait particulièrement. Il avait la forme d’un livre ouvert avec le nom « Alice Myriam Perry » écrit argenté sur doré. Elle l’avait remporté en gagnant le concours de grande littérature des élèves de sixième. C’était la seule chose qui pouvait la réconforté à l’école. Savoir qu’elle marquait son existence dans cet établissement lui faisait garder la raison quand elle était triste. Elle pouvait tout supporter : être grondé, se faire punir, être en retenue (ce qui ne lui arrivera probablement jamais). Mais il y a certaine chose qui la touche au plus profond d’elle-même. Et tout se montre sous forme de colère ou de tristesse qu’elle ne sait malheureusement pas maintenir. Elle se dirigea vers la grande porte de l’école et elle entama quelque marche avant d’atterrir sur la pelouse. Elle se dirigea encore vers une autre porte en fer qui servait de porte d’entré. Elle était grande ouvert et gardé par un garde. Elle donnait sur un trottoir.
C’était comme ça tout les jours. Ces filles l’embêtait et ne la laissait pas vivre. Mais elle ne supportait plus. Elle sait pourtant qu’elle n’est pas comme les autres. Elle était unique, personne ne pouvait prétendre lui ressemblé. Ses cheveux châtains, sa robe bleu, son gilet blanc et son sourire angélique, tout semblait ordinaire. Mais quelque chose en elle resta spéciale. Il y a des moments où elle se sent à l’écart mais son père lui faisait éprouver le contraire. Plus elle pensait, plus le chemin du retour semblait court. Elle aperçu au loin une boite au lettre blanche qui indiquait l’entré de sa maison. Elle accéléra la cadence et arriva bientôt devant une clôture blanche. Elle poussa l’accès et se retrouva dans un jardin fleurit. Elle faisait face à leur maison jaune avec un toit en tuile. Une voiture bleue était garée devant la barrière. Cela ne présageait que l’arrivé de sa mère à Alice. Elle ouvrit la porte et se retrouva dans un large salon. Le carrelage était marron avec des formes de losange. Il y avait des canapés couleur crème devant une table en bois sur laquelle était posé un vase en forme de signe coiffé par des tulipes et des marguerites fraichement cueilli. Il y avait aussi un grand cheminé sur lequel il y avait des cadres à photo. Un jeune garçon était assit confortablement sans se douté de rien en train de lire un livre. Alice fouilla la pièce du regard.
-Où est ma mère ? Demanda-t-elle au jeune garçon qui sursauta.
-Tu m’as fait une de ces peurs, dit-il en se tournant vers Alice. Elle est dans le jardin derrière.
Alice s’assit à côté de lui et posa son cartable.
L’heure était arrivé de diné, chez les Perry. Alice avait dressé la table et frotta encore un verre. Sa mère avait préparé de la soupe aux pommes de terre. Après que tout soit prêt, ils se mirent à table. Isabelle avait bien remarqué l’attitude bizarre de sa fille. Tout en elle lui rappelait son mari. Elle fit semblant de rien. Le diné était un peu trop silencieux et à chaque bouché, le visage d’Alice devenait un peu plus grave.
-Vous avez passé une bonne journée à l’école ?
Cette question alluma l’alarme d’Alice. C’était le moment ou jamais de dire tout ce qu’il lui était arrivé.
- Parfait, dit le jeune garçon.
-Insupportable ! s’écria Alice.
Isabelle sursauta même si elle s’en doutait bien.
-Ce stupide surnom est encore revenu, dit-elle, des filles m’ont encore appelé « miss lunettes » ce qui est parfaitement illogique. Après tout ! Se sont elles qui ont le plus besoin de lunettes. Au cas où elles ne l’auraient pas remarqué je n’en porte pas !
-Calme toi ma chérie, rassura sa mère. Des choses comme ça sont inévitable. Surtout au collège.
- Peut être. Mais ces choses m’arrives plus souvent qu’à d’autre. Mais qui a bien pu inventer ce sobriquet de malheur. Cette personne devait surement être aveugle.
-Arrêtes, dit sa mère, cette personne devait surement être jalouse de toi.
-Jalouse de moi ? Demanda Alice interloqué. Mais pourquoi ?
-Parce que tu es brillante, répondit Isabelle.
-Mais cela n’est pas vraiment une raison !
Le jeune garçon se mit à gloussé et à ricané. Alice le foudroya du regard.
-Qu’est ce qui te fait rire Tom ?
- Excuse-moi, parvint-il à dire entre deux rires. Excuse-moi mais c’est la première fois que je te vois autant énervé.
Il continua de ricané.
-ça n’a rien de drôle ! répliqua-t-elle en grimaçant. Tu n’as jamais eu de surnom toi, tu ne sais pas ce que ça fait.
Tom se racla la gorge et cessa de rire.
-Si j’en ai eu, dit-il. Même que j’en ai eu trois.
Alice se calma un peu.
-C’est vrai ? Demanda-t-elle.
-Oui, dit Tom. En primaire, ils m’appelaient « jambe de bois ».
-Pourquoi ?
-Parce que je courrais aussi vite qu’un escargot. Ils m’appelaient aussi « casse pied » ou encore « le chouchou ». Tu devrais arrêter de te sentir humilié.
-Tom à raison, acquiesça Isabelle. Tu n’as pas à t’humilié. Et puis, tu l’as dit toi-même. C’est eux qui devraient avoir honte. Comment peut on surnommé une personne qui ne porte même pas de lunette « miss lunettes ». Ce n’est vraiment pas logique.
Alice fixa la table.
-Pas logique du tout, marmonna-t-elle.
Un ange passa, plus personne ne disait rien. Ils continuèrent de mangé dans un silence absolue. Alice avait préservé pour elle toutes les recommandations de son professeur. Il lui fallait encore du temps pour y pensé. Mais une partie de ce qu’il avait dit la fit plus réfléchir qu’elle ne l’aurait voulu.
Après diné, Alice remonta dans sa chambre. Sa chambre avait une bibliothèque personnelle et un large bureau. Les murs étaient peints en violet. Il y avait une grande fenêtre peint en blanc qui laissait pénétrer la lumière de la lune. Son lit était dans un coin à côté d’une table de chevet. Un grand coffre était placé devant. Elle alluma la lumière et la pièce s’éclaira. Elle s’assit sur son lit et regarda les étoiles. Une décision n’allait pas être facile à prendre.
Après une nuit mouvementée par des bruits de leur voisin qui démangeait à dix heures du soir Alice se prépara pour aller à l’école avec son cousin Tom. Le père de Tom était le frère du père d’Alice. Tom n’avait connue que lui car à sa naissance sa mère fut envoyer se faire soigné en Europe à cause d’une maladie grave. Son père était censé partir en voyage d’affaire d’une durée de deux mois, mais voilà qu’après un an il n’est jamais revenu. La police avait cherché dans tout les endroits possible où il serait allé mais après des mois de fouille, ils ont décidé d’abandonné. Isabelle décida de s’occupé de lui et de son éducation tout le temps qu’il faudra pour que tout sois en ordre. Alice et lui allait dans une école qui n’a jamais eu de nom précis. Les habitants connaissaient l’établissement sous le nom de « Collège De La Verte Classe ». Eux deux avait été sollicité à passé l’examen d’entrée à « L’Institut Avancé Des Privilégiés d’Amérique » et ils attendent toujours les réponses de leur teste. Isabelle avait déjà prévue leur déménagement. Elle n’avait aucun doute sur leur admission.
Alice descendit les escaliers avec son cartable. Une chose qu’elle avait en tête la poussa à chantonné jusqu’à la cuisine où sa mère l’attendait. Elle se dirigea vers la table et s’assit sur une chaise.
-Bonjour Maman, dit-elle tout en tartinant un pain de confiture.
-Bonjour, répondit-elle. Tu as bien dormi on dirait.
Alice haussa les épaules.
-Pas vraiment, dit-elle.
Sa mère s’assit devant elle et mélangea son café avec sa cuillère. Alice avala une bouché de sa tartine et s’en satisfait.
-Il y a du courrier ? Demanda-t-elle.
-Oui mais pas beaucoup qui sont important.
Alice versa du lait dans une tasse de thé et se rendit compte que sa journée n’était pas tellement prometteuse. Tom descendit les escaliers à toute allure et retrouva Alice et sa mère.
-Bonjour, lança-t-il.
-Bonjour, répondirent-elles à l’unisson.
-Il y a du courrier ?
-Pas ceux que nous attendions, dit Alice.
Tom se mit à trottiné sur place. Personne ne le remarqua alors il trottina encore plus vite. Il cherchait à attiré l’attention mais ni Alice ni Isabelle ne savait quelle question posé pour le satisfaire.
-Tu es prête ? demanda-t-il à Alice.
-Tu ne manges pas ? Mais qu’est ce qui te presse ? Questionna Isabelle.
-J’ai un cours passionnant sur les astres ce matin, dit-il enthousiaste, je ne veux pas être en retard.
-Mais vous n’êtes jamais en retard, répliqua Isabelle.
Alice se leva après avoir but son lait. Elle se mit à trottiné aussi.
-Je ne veux surtout pas que tu rates ce cours, dit-elle, on n’a pas eu l’opportunité d’y assisté. Je veux que tu prennes note pour moi.
-Allons-y alors ! s’exclama Tom et ils se dirigèrent vers la porte.
Isabelle les regarda s’en allé.
-A ce soir ! cria-t-elle.
-A ce soir ! dirent-ils.
Ils coururent le long du chemin et arrivèrent à l’école. Tom décida tout de suite d’allé dans la salle où se déroulera son cours. Alice passa près de la vitrine des trophées et esquissa un sourire en voyant son nom. Elle se dirigea vers les escaliers et croisa à nouveau les trois filles qui la regardaient avec dégout. Alice les ignora et continua son chemin avant de se retourné.
-Eh ! Appela-t-elle et les filles se tournèrent.
-Quoi ? Questionnèrent les filles l’air de dire : qu’est ce que tu veux encore ?
Alice leva la tête sure d’elle et prit une pose à l’aise.
-Le rose n’est plus vraiment à la mode maintenant.
Une des filles fronça les sourcils et allait remettre Alice à sa place quand les deux autres la retinrent de peur qu’elle n’abîme sa manucure.
-Je vous conseille de porté du bleu.
Alice fit semblant de partir mais resta caché pour entendre les filles ronchonné. Cela annonçait que sa journée avait quand même quelque étonnement.
La journée se passa comme elle avait commencé. Tom avait adoré son cours et Alice prenait plaisir à l’écouté expliqué ce qu’il avait appris d’intéressant. Le temps passer en route c’était vite dissipé. Ils arrivèrent alors dans leur jardin et s’apprêtèrent à entré chez eux mais ils ne se doutaient pas qu’une surprise les y attendait. Tom ouvrit la porte et une tonne de confetti tombèrent sur eux. Des ballons bleu et rose étaient accrochés un peu partout.
-Surprise ! cria Isabelle en sortant de nulle part.
Alice et Tom restèrent pantois ne sachant rien de ce qu’il se passait.
-Mais qu’est ce qu’il se passe? Demandèrent Tom et Alice à l’unisson.
Isabelle les poussaient vers les escaliers.
-Vous le saurez quand vous vous serez changé, dit elle tout en gardant le suspense.
Alice se mit à douté de quelque chose. Elle monta à vive allure dans sa chambre, posa son cartable par terre et se précipita vers son armoire.
Elle écarquilla les yeux. Ce qu’elle voyait accroché à son pendoir était la chose la plus miraculeuse qu’elle ai vue ce jour là. Un uniforme scolaire articlé d’une jupe verte, d’une chemise blanche, d’un gilet gris avec un logo portant les initiales I.A.P.A. Un sourire béat se dessina sur son visage. Elle entendit la réaction de Tom de l’autre côté du mur. Elle savait qu’il devait être aussi content qu’elle ne l’était. Isabelle dressait la table et entendait les cris de joie d’Alice et Tom. En quelque minute ils enfilèrent leur uniforme et descendirent les escaliers bruyamment. Isabelle les regarda fièrement. Elle tenait deux grandes enveloppes dans les mains. Alice et Tom se dressaient devant elle. Plus rien n’était secret maintenant qu’ils avaient eu droit à un indice. Les enveloppes ne faisaient que confirmer leur croyance. Isabelle tendit une à Alice et une à Tom. Ils les ouvrirent sans crier gare.
-L’Institut Avancé des Privilégiés d’Amérique vous félicite pour votre admission dans leur prestigieux établissement d’enseignement avancé pour les élèves qui ont eu le privilège de réussir avec grand succès les examens d’entrés.
Alice lu tout ce qu’il y avait d’écrit à haute voix et à chaque mot qu’elle lisait elle en fut de plus en plus satisfaite. Tom avait commencé à sautillé depuis qu’il avait ouvert son enveloppe. Isabelle les prit dans ses bras aussi fort qu’elle le pouvait.
-Vos pères seraient si fière de vous, dit-elle les larmes aux yeux.
Tom ne pouvait plus respiré. Il croyait exploser. Alice avait l’impression que son avenir était d’apprendre dans cette prestigieuse école.
La journée finit dans la joie. Mais le lendemain réservait autre chose…