The Heirs of Magic
written by Chloe Shinepark
This is a book that talk about enchanter's drama. The principal characters are cousins: Tom Kevin Perry and Alice Myriam Perry. They will enter in a land that they ever wished to be in and learn how to be a nice kind of enchanter... The book is actually in french but I wish I'll find a way to translate it in English. This is just a testing.
Last Updated
05/31/21
Chapters
5
Reads
566
Prologue
Chapter 1
PROLOGUE
Les pétales d’un grand arbre sapin verdoyant, chutaient au sol en un mouvement délicat. A côté, une jeune femme tenait un bout de branche et l’agitait tandis qu’un ciseau était suspendu dans les airs et coupait les buissons.
Des personnes se regroupèrent en cercle pour discuté et d’autre marchait avec un livre grand ouvert qui planait en face de leur visage. Tout était calme, pas un seul son. Quand en regardait au dessus on ne voyait que de la terre. Cette emplacement sous terraine était peu connu mais beaucoup fréquenté par des personnes aux chapeaux pointu, des hommes aux barbes blanche, certains portait de longue cape bleu.
Un homme pressé courait à toute vitesse en direction d’un arbre gigantesque, de la hauteur d’un gratte-ciel. Il y avait des fenêtres que l’on avait achevées de forme rectangulaire. L’homme se frayait un chemin en zigzaguant à travers la foule. Il bouscula quelque personne et en oublia de s’excusé. Il faisait partit des personnes portant une cape bleu. Mais ses cheveux long jusqu’au épaule étaient couronné d’un chapeau haute forme. Il portait un tailleur avec des chaussures de cérémonie et des gants blanches qui précisait sa noblesse. On ne distinguait pas son visage qu’il cachait de son manteau. Il atteignit le grand arbre qui était creux et une grande porte en bois se dressait devant lui. Il l’ouvrit sans crier gare. Il y avait un certains nombre d’escalier à l’intérieur, ils conduisaient tous vers des étages soutenue par des balcons en bois orné par des feuilles rose. L’homme se précipita sur l’escalier qui était le plus proche de lui. Il franchit les balcons et pénétra dans différent couloir avant d’arriver devant une autre grande porte. Il reprit son souffle car son petit trajet était épuisant. Il se tint bien droit et frappa trois coups sur le seuil.
-Entrez, dit une voix venant de derrière la porte.
L’homme ouvrit la grande porte et demeura dans une large pièce avec un très haut plafond surmonté d’un grand lustre en brindille éclairé par des bougies.
Il y avait un tapis vert qui se déroulait jusqu’à un bureau en bois. Un grand champ de force transparent servait de baie vitré pour laisser pénétrer la lumière. Un autre homme était dressé devant la fenêtre imaginaire. L’homme à la cape s’inclina.
-Vous m’avez demandé, monsieur, dit-il avec une voix des plus aimables.
L’homme resta debout sans se retourné. Il resta muet pendant quelques secondes. L’homme à la cape ne se redressa pas encore.
- Savez vous depuis combien de temps l’héritière est elle partie ? Demanda-t-il tristement.
-Depuis deux ans et deux lunes, monsieur, répondit l’homme avec la cape.
L’homme se retourna et s’assit devant son bureau. Il avait une barbe blanche et portait un chapeau pointu. Une paire de lunette ronde décorait son visage épuisé et vieillit par le temps. Il regarda la photo d’une petite fille posé sur sa table. Il avait les yeux pleins de regret.
-Cela fait trois ans, répliqua-t-il. Trois ans, à partir d’aujourd’hui.
L’homme à la cape se redressa et se tint bien droit. L’homme barbu lui fit signe de s’asseoir sur un fauteuil marron. Il finit de s’installé et l’homme barbu le regarda dans les yeux.
-Je vais bientôt mourir, dit-il.
L’homme à la cape secoua la tête.
-Ne dite pas cela ! dit-il tristement.
Il avait complètement conscience que l’homme barbu disait vrai, mais il voulait éviter d’en parlé pour ne pas affirmé ses derniers jour à vivre.
-Si, si, dit-il. Je me suis préparé à ce que cela vienne, et cela depuis le jour où mon aïeul est décédé.
Il prit une branche soigneusement sculpté et l’agita. Un superbe service en porcelaine apparue sur le bureau. Il agita encore la branche au dessus de la tasse et du thé apparue en dégageant une odeur délicieuse.
-Un sucre ou deux ? Demanda l’homme barbu en prenant son chapeau.
-Un, répondit-il, je vous prie.
Il plongea sa main dans son chapeau et en sortit deux morceaux de sucre. Il en lâcha un dans la tasse de l’homme à la cape et un dans la sienne. Ils se servirent.
-Je vous ai demandé pour vous dire, qu’il n’y a plus assez de temps.
-Assez de temps pour quoi ?
-Pour en perdre d’avantage, mon chère. Trois ans c’est long mon chère et je commence à croire qu’elle ne viendra plus.
L’homme à la cape se contentait de l’écouté sans en mettre un grain de sel. Même s’il voulait plus que le contredire, il ne pouvait nier que trois ans c’était long, encore plus pour lui que pour l’homme barbu.
-J’ai donc l’intention de faire un grand tournoi de magie ! S’écria-t-il les mains en l’air pour plus marqué ce moment.
L’homme à la cape posa sa tasse de thé il prit l’air grave.
-Afin de pouvoir élire ou plutôt désigné par rapport aux performances, le prochain ou la prochaine grand enchanteur ou grande enchanteresse !
-Mais il n’est pas sorcier de lui accordé plus de temps ! s’écria l’homme à la cape en se relevant. Ce ne serait pas juste qu’elle perde la place que l’on lui avait promise sans qu’on ne la prévienne !
-Je l’aurai prévenue si je n’avais pas perdu tout contacte avec elle ! Répliqua-t-il. Et je vous prie de vous rassoir.
L’homme s’assit rapidement. L’homme à barbe se leva et se mit face au champ de force. Il la fit disparaitre en levant une main.
-Je comprends votre attitude protectrice, déclara-t-il, c’est ma petite fille et vous imaginez la difficulté que j’ai eu a moi-même accepté cette décision. Mais voyez-vous ? Ma magie s’épuise.
Il releva sa main et le champ de force réapparue puis disparu aussi tôt. Depuis sa chaise l’homme à la cape prit une branche identique à celle de l’homme barbu et l’agita pour faire réapparaitre le champ de force.
-Vous êtes presque aussi puissant que moi maintenant. Voilà qui prouve deux choses.
-Lesquels ?
L’homme barbue s’assit à sa place et regarda de nouveau l’image dans une carde.
-Tout d’abord, cela signifie que mes jours sont compté.
-Et en suite ?
-En suite, c’est que vous êtes le plus talentueux des apprentis qui ont existé au sous centre. L’élève à bien dépassé le maitre.
L’homme à la cape ne put s’empêcher de sourire. C’était presque le plus beau compliment qu’on ne lui a jamais dit.
-Je vous recommande vivement de participé à ce tournoie. Vous êtes sure d’arrivé à la phase final et même de remporté la victoire.
-Votre décision est-elle prise ? Demanda-t-il ayant encore un peu d’espoir.
-Oui.
-En êtes vous vraiment sure ?
-Rien ne me fera changer d’avis.
L’homme à la cape se leva et se dirigea vers la porte.
-Je vous prie de rassembler tout les apprentis et les enchanteurs dans grande cour. Prévenez-les de ma venue.
-Bien.
Il s’inclina de nouveau et quitta les lieux.
L’homme barbu resta assis sur sa chaise.
-Ai-je pris la bonne décision ?
L’homme à la cape descendit les escaliers tout doucement. Il ne s’attendait pas à ce que l’homme barbu le convoque pour lui annoncé une nouvel aussi effrayante. Mais le fait de pensé à ces remords le faisait oublie toute trace de colère et le poussa à défendre sa cause. Il était tellement perdu dans ses pensés qu’il n’avait même pas aperçu les apprentis qui étaient déjà tous en rang. Il était arrivé dans le hall quand les jeunes personnes commencèrent à marmonné.
- Alexandre ! cria un jeune adolescent parmi beaucoup d’autre.
Il regarda en sa direction.
-Vous êtes déjà en rang ?
Le jeune homme hocha la tête.
Alexandre se mit face aux rangés d’élève en face de lui. Ils le fixaient des yeux.
-Le Grand enchanteur m’a recommandé de vous prévenir de sa venue ! déclara-t-il.
Des apprentis ravalèrent leur salive tandis que d’autres eurent un air assuré. Le Grand enchanteur apparue devant eux sans que personne ne s’en aperçoivent.
-Mes chères apprentis et enchanteurs ! annonça-t-il en faisant sursauter tout le monde excepté Alexandre. Il était habitué au entré surprenante de son maitre. J’ai une nouvelle à vous annoncé ! Comme vous le savez tous, nous avons quelque ennuie en se qui concerne l’héritière.
Tout le monde marmonnait à nouveau. L’héritière était une personne connue de tous.
-Un peu de silence je vous prie ! dit Alexandre.
-En dépits de ces circonstances, j’ai moi-même décidé que je désignerais en l’occurrence d’un grand tournoi, mon successeur en tant que grand enchanteur !
Les élèves se turent, on aurait dit qu’une partie de se qu’il avait révélé n’était pas inconnue des apprentis.
-Le tournoi sera repartit en trois jour, dit le grand enchanteur. Il y aura divers épreuve à l’écrit et à la pratique. Toutes personnes, que ce sois un enchanteur ou un apprenti, tous devront sans exception y participé.
Une jeune fille à lunette leva la main.
-Oui, dit Alexandre.
-Est-ce compris parmi les stages mensuelle ?
-Non, décida le grand enchanteur. Ce ne sera pas compris dans les stages mensuels.
La jeune fille acquiesça et tout le monde se mitent à se morfondre.
-Choisir l’un d’entre vous sera une tâche bien difficile, avoua le Grand enchanteur. D’autant plus que vous êtes tous très doué. Je ne m’attarderai pas à faire un long discours car, vous avez encore des choses, beaucoup de choses à apprendre avant le grand jour. Avant que le tournoie commence, j’aimerai établir avec le conseille enchanté, quelques règles. Ces règles vous seront apprises dès que le moment sera venu. Je vous demande tant bien que mal de renseigner votre entourage dans la ville. J’aimerai aussi avoir tout les enseignants dans mon bureau quand les cours seront terminés. Je ne dirais rien de plus si ce n’est que, après avoir désigné mon successeur, une grande réception sera organisée. Voilà mes chères ! Je vous souhaite une belle fin de journée et n’oubliez pas : nous sommes sous couverture, il faut garder notre identité secret jusqu’à ce que les personnes du monde couvert décident de s’alliée avec nous !
Le Grand enchanteur disparue aussi tôt qu’il n’est apparue. Alexandre tapa des mains.
- Vous pouvez disposer à présent.
Les rangs se sont détachés pour former des petits groupes de personnes amis.
Alexandre retourna dans l’arbre et fut arrêté par une vieille dame avec les cheveux gris et un chapeau pointu.
-Si j’ai bien entendu, Anne a décidé d’échappé à la grande tâche qui lui était prédestiné, n’est ce pas ?
-Elle n’a rien décidé du tout professeur, répliqua-t-il. C’est le grand enchanteur qui a estimé plus simple de désigné une autre personne.
Il continua de marché en l’ignorant mais la dame le suivait toujours.
-Pensez vous qu’elle aurait été prête si elle avait accepté d’être la grande enchanteresse ?
-Je vous répète qu’elle n’a rien refusé ni accepté ! hurla-t-il. Elle a bien le droit d’être libre comme tout le monde !
-Est-ce vraiment ce que vous pensez ?
Il s’arrêta et soupira. Il était énervé.
-Pensez vous que tout le monde est libre de faire ce qui lui passe par la tête ? Pensez vous que tout le monde possèdent le droit de pouvoir faire ce qu’ils veulent dans leur courte existence ? Avez-vous pensez aux pauvres personne qui n’ont rien demandé et qui contre leur volonté on été obligé de devenir enchanteur ?
Alexandre ne pipait mot. Toutes ces questions lui faisaient réfléchir plus qu’il ne voudrait.
-Pensez vous que c’est juste de décliné le destin qui vous a été imposé depuis des années, que vous avez accepté, que vous avez appris à métrisé, que des personnes ont insisté à vous enseigné ?
-Elle avait effectivement fait tous ce que vous veniez de dire, mais personne ne lui avait appris à aimé ce destin. Et cela lui donne les droits d’y réfléchir.
Le professeur mit une main sur l’épaule D’Alexandre. Elle le regarda droit dans les yeux.
-Jeune homme, vous êtes l’enfant le plus sage de cette école. Vous devez vous en estimé fière. Je vous souhaite une très bonne chance pour le tournoi ! Agissez donc de cette façon. Déterminé vous à faire comprendre à votre adversaire que l’on vous a appris à aimé votre destin.
Le professeur se dirigea vers l’un des escaliers. Alexandre resta debout ne comprenant pas vraiment si le professeur avait posé ses question pour l’agacé, ou bien pour l’encouragé à ne pas perdre l’espoir durant le tournoi. Quelle que soit ses intentions, elle avait effectué les deux en même temps. Depuis qu’il n’était qu’un enfant, cette enseignante était son préféré. Plus elle vieillissait, plus il trouvait qu’elle était la personne la plus réconfortante en sa connaissance.
L’héritière n’avait pas décliné ni accepté d’être l’héritière. Le fait qu’elle soit l’arrière petite fille du grand Merlin, lui pousse à être ce qu’elle n’a jamais souhaité. Elle voulait prendre un chemin différent de celle de ses ancêtres. Elle a préféré quitté le sous centre pour aller exploré des terres inconnues. Elle n’est jamais revenue. Alexandre regrettait de ne pas lui avoir donné plus de tort, juste pour qu’elle ne s’en aille pas. Son absence tuait les bons moments qu’il passait au sous centre. Son amie la plus chère était partit sans l’écouté.
Il regrettait maintenant de l’avoir soutenue dans ses projets. Mais même sans elle, le sous centre avait connue divers évolution.
Les pétales d’un grand arbre sapin verdoyant, chutaient au sol en un mouvement délicat. A côté, une jeune femme tenait un bout de branche et l’agitait tandis qu’un ciseau était suspendu dans les airs et coupait les buissons.
Des personnes se regroupèrent en cercle pour discuté et d’autre marchait avec un livre grand ouvert qui planait en face de leur visage. Tout était calme, pas un seul son. Quand en regardait au dessus on ne voyait que de la terre. Cette emplacement sous terraine était peu connu mais beaucoup fréquenté par des personnes aux chapeaux pointu, des hommes aux barbes blanche, certains portait de longue cape bleu.
Un homme pressé courait à toute vitesse en direction d’un arbre gigantesque, de la hauteur d’un gratte-ciel. Il y avait des fenêtres que l’on avait achevées de forme rectangulaire. L’homme se frayait un chemin en zigzaguant à travers la foule. Il bouscula quelque personne et en oublia de s’excusé. Il faisait partit des personnes portant une cape bleu. Mais ses cheveux long jusqu’au épaule étaient couronné d’un chapeau haute forme. Il portait un tailleur avec des chaussures de cérémonie et des gants blanches qui précisait sa noblesse. On ne distinguait pas son visage qu’il cachait de son manteau. Il atteignit le grand arbre qui était creux et une grande porte en bois se dressait devant lui. Il l’ouvrit sans crier gare. Il y avait un certains nombre d’escalier à l’intérieur, ils conduisaient tous vers des étages soutenue par des balcons en bois orné par des feuilles rose. L’homme se précipita sur l’escalier qui était le plus proche de lui. Il franchit les balcons et pénétra dans différent couloir avant d’arriver devant une autre grande porte. Il reprit son souffle car son petit trajet était épuisant. Il se tint bien droit et frappa trois coups sur le seuil.
-Entrez, dit une voix venant de derrière la porte.
L’homme ouvrit la grande porte et demeura dans une large pièce avec un très haut plafond surmonté d’un grand lustre en brindille éclairé par des bougies.
Il y avait un tapis vert qui se déroulait jusqu’à un bureau en bois. Un grand champ de force transparent servait de baie vitré pour laisser pénétrer la lumière. Un autre homme était dressé devant la fenêtre imaginaire. L’homme à la cape s’inclina.
-Vous m’avez demandé, monsieur, dit-il avec une voix des plus aimables.
L’homme resta debout sans se retourné. Il resta muet pendant quelques secondes. L’homme à la cape ne se redressa pas encore.
- Savez vous depuis combien de temps l’héritière est elle partie ? Demanda-t-il tristement.
-Depuis deux ans et deux lunes, monsieur, répondit l’homme avec la cape.
L’homme se retourna et s’assit devant son bureau. Il avait une barbe blanche et portait un chapeau pointu. Une paire de lunette ronde décorait son visage épuisé et vieillit par le temps. Il regarda la photo d’une petite fille posé sur sa table. Il avait les yeux pleins de regret.
-Cela fait trois ans, répliqua-t-il. Trois ans, à partir d’aujourd’hui.
L’homme à la cape se redressa et se tint bien droit. L’homme barbu lui fit signe de s’asseoir sur un fauteuil marron. Il finit de s’installé et l’homme barbu le regarda dans les yeux.
-Je vais bientôt mourir, dit-il.
L’homme à la cape secoua la tête.
-Ne dite pas cela ! dit-il tristement.
Il avait complètement conscience que l’homme barbu disait vrai, mais il voulait éviter d’en parlé pour ne pas affirmé ses derniers jour à vivre.
-Si, si, dit-il. Je me suis préparé à ce que cela vienne, et cela depuis le jour où mon aïeul est décédé.
Il prit une branche soigneusement sculpté et l’agita. Un superbe service en porcelaine apparue sur le bureau. Il agita encore la branche au dessus de la tasse et du thé apparue en dégageant une odeur délicieuse.
-Un sucre ou deux ? Demanda l’homme barbu en prenant son chapeau.
-Un, répondit-il, je vous prie.
Il plongea sa main dans son chapeau et en sortit deux morceaux de sucre. Il en lâcha un dans la tasse de l’homme à la cape et un dans la sienne. Ils se servirent.
-Je vous ai demandé pour vous dire, qu’il n’y a plus assez de temps.
-Assez de temps pour quoi ?
-Pour en perdre d’avantage, mon chère. Trois ans c’est long mon chère et je commence à croire qu’elle ne viendra plus.
L’homme à la cape se contentait de l’écouté sans en mettre un grain de sel. Même s’il voulait plus que le contredire, il ne pouvait nier que trois ans c’était long, encore plus pour lui que pour l’homme barbu.
-J’ai donc l’intention de faire un grand tournoi de magie ! S’écria-t-il les mains en l’air pour plus marqué ce moment.
L’homme à la cape posa sa tasse de thé il prit l’air grave.
-Afin de pouvoir élire ou plutôt désigné par rapport aux performances, le prochain ou la prochaine grand enchanteur ou grande enchanteresse !
-Mais il n’est pas sorcier de lui accordé plus de temps ! s’écria l’homme à la cape en se relevant. Ce ne serait pas juste qu’elle perde la place que l’on lui avait promise sans qu’on ne la prévienne !
-Je l’aurai prévenue si je n’avais pas perdu tout contacte avec elle ! Répliqua-t-il. Et je vous prie de vous rassoir.
L’homme s’assit rapidement. L’homme à barbe se leva et se mit face au champ de force. Il la fit disparaitre en levant une main.
-Je comprends votre attitude protectrice, déclara-t-il, c’est ma petite fille et vous imaginez la difficulté que j’ai eu a moi-même accepté cette décision. Mais voyez-vous ? Ma magie s’épuise.
Il releva sa main et le champ de force réapparue puis disparu aussi tôt. Depuis sa chaise l’homme à la cape prit une branche identique à celle de l’homme barbu et l’agita pour faire réapparaitre le champ de force.
-Vous êtes presque aussi puissant que moi maintenant. Voilà qui prouve deux choses.
-Lesquels ?
L’homme barbue s’assit à sa place et regarda de nouveau l’image dans une carde.
-Tout d’abord, cela signifie que mes jours sont compté.
-Et en suite ?
-En suite, c’est que vous êtes le plus talentueux des apprentis qui ont existé au sous centre. L’élève à bien dépassé le maitre.
L’homme à la cape ne put s’empêcher de sourire. C’était presque le plus beau compliment qu’on ne lui a jamais dit.
-Je vous recommande vivement de participé à ce tournoie. Vous êtes sure d’arrivé à la phase final et même de remporté la victoire.
-Votre décision est-elle prise ? Demanda-t-il ayant encore un peu d’espoir.
-Oui.
-En êtes vous vraiment sure ?
-Rien ne me fera changer d’avis.
L’homme à la cape se leva et se dirigea vers la porte.
-Je vous prie de rassembler tout les apprentis et les enchanteurs dans grande cour. Prévenez-les de ma venue.
-Bien.
Il s’inclina de nouveau et quitta les lieux.
L’homme barbu resta assis sur sa chaise.
-Ai-je pris la bonne décision ?
L’homme à la cape descendit les escaliers tout doucement. Il ne s’attendait pas à ce que l’homme barbu le convoque pour lui annoncé une nouvel aussi effrayante. Mais le fait de pensé à ces remords le faisait oublie toute trace de colère et le poussa à défendre sa cause. Il était tellement perdu dans ses pensés qu’il n’avait même pas aperçu les apprentis qui étaient déjà tous en rang. Il était arrivé dans le hall quand les jeunes personnes commencèrent à marmonné.
- Alexandre ! cria un jeune adolescent parmi beaucoup d’autre.
Il regarda en sa direction.
-Vous êtes déjà en rang ?
Le jeune homme hocha la tête.
Alexandre se mit face aux rangés d’élève en face de lui. Ils le fixaient des yeux.
-Le Grand enchanteur m’a recommandé de vous prévenir de sa venue ! déclara-t-il.
Des apprentis ravalèrent leur salive tandis que d’autres eurent un air assuré. Le Grand enchanteur apparue devant eux sans que personne ne s’en aperçoivent.
-Mes chères apprentis et enchanteurs ! annonça-t-il en faisant sursauter tout le monde excepté Alexandre. Il était habitué au entré surprenante de son maitre. J’ai une nouvelle à vous annoncé ! Comme vous le savez tous, nous avons quelque ennuie en se qui concerne l’héritière.
Tout le monde marmonnait à nouveau. L’héritière était une personne connue de tous.
-Un peu de silence je vous prie ! dit Alexandre.
-En dépits de ces circonstances, j’ai moi-même décidé que je désignerais en l’occurrence d’un grand tournoi, mon successeur en tant que grand enchanteur !
Les élèves se turent, on aurait dit qu’une partie de se qu’il avait révélé n’était pas inconnue des apprentis.
-Le tournoi sera repartit en trois jour, dit le grand enchanteur. Il y aura divers épreuve à l’écrit et à la pratique. Toutes personnes, que ce sois un enchanteur ou un apprenti, tous devront sans exception y participé.
Une jeune fille à lunette leva la main.
-Oui, dit Alexandre.
-Est-ce compris parmi les stages mensuelle ?
-Non, décida le grand enchanteur. Ce ne sera pas compris dans les stages mensuels.
La jeune fille acquiesça et tout le monde se mitent à se morfondre.
-Choisir l’un d’entre vous sera une tâche bien difficile, avoua le Grand enchanteur. D’autant plus que vous êtes tous très doué. Je ne m’attarderai pas à faire un long discours car, vous avez encore des choses, beaucoup de choses à apprendre avant le grand jour. Avant que le tournoie commence, j’aimerai établir avec le conseille enchanté, quelques règles. Ces règles vous seront apprises dès que le moment sera venu. Je vous demande tant bien que mal de renseigner votre entourage dans la ville. J’aimerai aussi avoir tout les enseignants dans mon bureau quand les cours seront terminés. Je ne dirais rien de plus si ce n’est que, après avoir désigné mon successeur, une grande réception sera organisée. Voilà mes chères ! Je vous souhaite une belle fin de journée et n’oubliez pas : nous sommes sous couverture, il faut garder notre identité secret jusqu’à ce que les personnes du monde couvert décident de s’alliée avec nous !
Le Grand enchanteur disparue aussi tôt qu’il n’est apparue. Alexandre tapa des mains.
- Vous pouvez disposer à présent.
Les rangs se sont détachés pour former des petits groupes de personnes amis.
Alexandre retourna dans l’arbre et fut arrêté par une vieille dame avec les cheveux gris et un chapeau pointu.
-Si j’ai bien entendu, Anne a décidé d’échappé à la grande tâche qui lui était prédestiné, n’est ce pas ?
-Elle n’a rien décidé du tout professeur, répliqua-t-il. C’est le grand enchanteur qui a estimé plus simple de désigné une autre personne.
Il continua de marché en l’ignorant mais la dame le suivait toujours.
-Pensez vous qu’elle aurait été prête si elle avait accepté d’être la grande enchanteresse ?
-Je vous répète qu’elle n’a rien refusé ni accepté ! hurla-t-il. Elle a bien le droit d’être libre comme tout le monde !
-Est-ce vraiment ce que vous pensez ?
Il s’arrêta et soupira. Il était énervé.
-Pensez vous que tout le monde est libre de faire ce qui lui passe par la tête ? Pensez vous que tout le monde possèdent le droit de pouvoir faire ce qu’ils veulent dans leur courte existence ? Avez-vous pensez aux pauvres personne qui n’ont rien demandé et qui contre leur volonté on été obligé de devenir enchanteur ?
Alexandre ne pipait mot. Toutes ces questions lui faisaient réfléchir plus qu’il ne voudrait.
-Pensez vous que c’est juste de décliné le destin qui vous a été imposé depuis des années, que vous avez accepté, que vous avez appris à métrisé, que des personnes ont insisté à vous enseigné ?
-Elle avait effectivement fait tous ce que vous veniez de dire, mais personne ne lui avait appris à aimé ce destin. Et cela lui donne les droits d’y réfléchir.
Le professeur mit une main sur l’épaule D’Alexandre. Elle le regarda droit dans les yeux.
-Jeune homme, vous êtes l’enfant le plus sage de cette école. Vous devez vous en estimé fière. Je vous souhaite une très bonne chance pour le tournoi ! Agissez donc de cette façon. Déterminé vous à faire comprendre à votre adversaire que l’on vous a appris à aimé votre destin.
Le professeur se dirigea vers l’un des escaliers. Alexandre resta debout ne comprenant pas vraiment si le professeur avait posé ses question pour l’agacé, ou bien pour l’encouragé à ne pas perdre l’espoir durant le tournoi. Quelle que soit ses intentions, elle avait effectué les deux en même temps. Depuis qu’il n’était qu’un enfant, cette enseignante était son préféré. Plus elle vieillissait, plus il trouvait qu’elle était la personne la plus réconfortante en sa connaissance.
L’héritière n’avait pas décliné ni accepté d’être l’héritière. Le fait qu’elle soit l’arrière petite fille du grand Merlin, lui pousse à être ce qu’elle n’a jamais souhaité. Elle voulait prendre un chemin différent de celle de ses ancêtres. Elle a préféré quitté le sous centre pour aller exploré des terres inconnues. Elle n’est jamais revenue. Alexandre regrettait de ne pas lui avoir donné plus de tort, juste pour qu’elle ne s’en aille pas. Son absence tuait les bons moments qu’il passait au sous centre. Son amie la plus chère était partit sans l’écouté.
Il regrettait maintenant de l’avoir soutenue dans ses projets. Mais même sans elle, le sous centre avait connue divers évolution.