-Ah Louise Bridgetown, tu devrais te méfier d’eux, si tu viens avec moi je te présenterais des gens bien plus convenable, elle regardait mes nouveaux amis d’une façon si sournoise que cela ne me plut pas du tout, au fait je suis Jane Malfoy, tu connais surement mon père    

 John pouffa de rire, et tous les garçons firent de même, tous sauf Matteo, il continuait de dévorer Jane des yeux

 -ça vous fait rire, les nazes ??

Je me décidais enfin à parler :

-Oui, c’est vrai, je suis Louise Bridgetown mais désolé, Jane  je me suis déjà fais des amis, je n’ai pas besoin de ton aide

-Ah, très bien, elle se mordilla l’ongle, nous regarda tous un par un, puis arrêta son regard sur Matteo, t’es plutôt mignon, finit-elle lâché, puis elle claqua la porte derrière elle en explosant de rire

Personne ne parla, puis petit-à-petit chacun sommeilla profondément.

Je voyais bien que ce qu’avait dit Jane à propos de Matteo, ne l’avait pas laissé indifférent, aussi, je ne fus absolument pas surprise de le voir se levait, et de quittait le wagon d’un pas assuré.

Je sais que je n’aurais jamais dû faire ça, Cher Journal, mais il fallait absolument que je sache où comptait se rendre Matteo.

Après l’avoir suivi dans 4 ou 5 wagons, il s’arrêta net devant un petit compartiment, qui semblé totalement vide.

Il tourna doucement la poignée, puis éclata de rire, rejeta sa mèche qui tombait devant ses yeux, puis se retourna :

« -Tu comptais, me suivre pendant combien de temps ? demanda-t-il enfin se tournant si vite que je ne pus me cacher.

-Mais, je ne te suivais, pas du tout !!

-Arrête, je sais très bien que tu m’observais, depuis tout à l’heure, après que Jane, est dit ça, me dit-il moqueur, puis retrouvant son sérieux, tu n’aurais pas des sentiments pour moi ?

-Quoi…, non, pas du tout, je commençais à perdre tous mes moyens

-Non, c’est pas grave, tu sais, le truc, c’est que mon cœur est déjà pris par…

Je finis sa phrase à sa place :

-Jane, je sais, c’est pas grave…

-Non, fin, oui, peut-être, enfaite, je sais pas trop, me répondit-il en bégayant, tu vois, quand je te vois, je pense à une rose fraîche, du matin qui n’attend qu’à être cueilli. Puis, il se gratte, la tête, gêné. Quand, je vois Jane, je pense à une rose rouge, magnifique, mais qui à la première seconde où tu la cueilleras, elle révèlera, sa vraie personnalité, et n’hésitera pas à enfoncer un de ces piques dans ton doigt.

-Je vois, lui répondis-je doucement, alors peut-être faut-il attendre de savoir quelle rose sera la meilleure. Nous étions presque collés, et là, je ne sais pas ce qui m’as pris, mais j’ai passé doucement ma main sur sa joue, elle était toute lisse. Mais fais-bien ton choix… je reprends en murmurant.

Par, la fenêtre, Jane observé, la scène, verte de jalousie. Elle se retourna et parti.

Je fis comme si je n’avais pas vu, puis je tournis les talons et rejoint mon wagon d’un pas assuré, malheureusement, Jane me rattrapa, ces cheveux blonds encadrés son visage en colère.

- Quoi, que tu comptes faire, il est à moi !! Me chuchota celle-ci à l’oreille

 La guerre entre nous venait à peine de commencer.

Je te laisse chère Journal et je t’embrasse très fort, je te réécrirais après la cérémonie de la répartition (Un professeur va nous poser un chapeau magique sur la tête, et ce chapeau nous répartira dans une des 4 maisons)